Notre histoire...
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{Le Bal d'automne}

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Message par Marie_Eve_1989 Lun 15 Fév - 13:39

Ouf que c'était difficile pour Peter de voir une jeune fille dans cet été. Il ne comprenait pas ce qu'il avait pu mettre le Professeur de potions dans cet état-là. Il ne connaissait pas leur histoire, leur passé. Il se doutait qu'il avait quelque chose. Simplement sa réaction lorsque leurs noms ont été pigés. Simplement leurs réactions durant la danse. Seulement leurs attitude après la valse. Oui, le Sincère se doutait de quelque chose, que cela causait beaucoup de peine à Mélina, mais il ignorait la cause. Il n'était pas là que par gentillesse, il n'était pas là que pour prendre soin de la Demoiselle. Oui, cela en faisait partie, mais il était là pour lui. Il s'en aurait voulu de la laisser là, devant tout le monde, de créer un nouveau malaise qui ne servait à rien. Donc, voilà! Peter ne la connaissait peu, il ignorait beaucoup de choses à son sujet, comme l'inverse. Elle ne le connaissait peu. Mais il était le genre de personne à qui l'on peut faire confiance, qui assurait de la bonté. Qui était rassurant par sa présence et par sa voix. 

Elle n'avait pas besoin de parler. Non, il n'en trouvait pas l'importance. Si elle le désirait, elle le pouvait, mais si elle voulait garder le silence, le Joueur de Quidditch l'écouterait. Des fois les silences veulent plus dire que des paroles. Il l'observa mettre sa coupe de champagne vide sur le rocher, puis de se diriger vers le lac. Il termina la sienne, toujours en silence. Il répondit à son merci en silence, en fermant un instant ses paupières. Tout cela pour dire qu'il ne dit rien. Il n'avait rien à dire à cela. Son silence démontrait la volonté qu'il voulait être là pour elle, mais pour lui également. Puis, lorsque ses yeux s'ouvrirent, il la vit, face au lac, une mains à ses lèvres, combattant quelque chose, des larmes. Un solide adversaire. Il déposa sa coupe vide aux ôtés de la sienne, sur le rocher, puis se leva. Il avancera lentement vers elle. Une main ira se saisir de sa taille, ainsi que l'autre, mais cette dernière fera une légère pression pour la tourner face à lui. Ensuite, ses bras iront l'envelopper au niveau de ses épaules. Ses gestes étaient délicats. Sans animosité. Sans charme, sans amour. Simplement des bras qui entourent une enveloppe corporelle. Peter l'approchera de son torse. Lui murmurant à l'oreille...

Peter: "Tu peux pleurer... Et je ne veux surtout pas que tu t'excuses après, plus tard ... Jamais..."

C'était chuchoté de façon si sensible. Il ne la charmait pas. Il lui donnait son soutient. Des fois, des bras inconnus pouvaient apporter ce que l'on désirait. Cela permettait au coeur de s'ouvrir plus facilement que dans des bras connus. C'est qu'il voulait lui dire, lui transmettre dans ce geste. Lui dire: "Je suis là, pas pour te juger, juste là. Tu ne me dois rien, mais je suis tout de même là..."

Puis, dans le chapiteau, il avait eu un moment de légèreté. Entre madame McCarthy et Anthony. Amandine avait tout vu et s'était approchée de lui. Elle avait prononcé des mots qu'elle n'en vota pas la signification. Pas au premier sens du terme. Que lui nota. Oui, il aurait pu en dire des mots sur cette phrase. Jalouse? Tu aurais pu être jalouse Amandine? Hm! Enfin, une chance qu'elle n'avait pas vu l'étendu de ses mots, car elle se saurait enfui en courant jusqu'au chateau. Et encore mieux que le Guerrier n'ait rien dit, car elle s'aurait sans doute mise à pleurer. Elle rira à ses premières phrases, le suivant hors de la piste de danse. 

Amandine:"Avoir su qu'elle avait un oeil sur toi... Ho Mon dieu... AHAHAHAH"

Et elle ria de nouveau, se stoppant lorsqu'il s'arrêta et regarda les deux sorties. Elle suivit son regard, puis revient à lui. Son sourire s'effaça. Elle écouta ses mots. Elle non plus elle ne savait pas quoi faire. Au départ, son instinct l'avait poussé à suivre Tristan. Ensuite, elle avait vu Pa suivre Mélina. Ensuite elle était venue rejoindre Anthony et il avait eu la claque sur ses Belles Fesses. Elle revint vite sur la terre, ses minimes recommençant à jouer entre elles. Son faciès penchant vers l'avant pour regarder celles-ci. 

Amandine:" Veux-tu aller la voir? Aller... Le voir? Veux-tu partir?... "

Elle ne savait pas où se mettre ton d'un coup Boucle-d'Or.

Pour terminer, il avait Tristan à l'extérieur, face à la lune, les mains dans les poches, en silence. Son Père était venu le rejoindre. Celui qui le connaissait quand même bien. Enfin, mieux que personne d'autre, ce qui n'était pas dur à battre. Il lui posa une question. Tristan l'écouta en silence, regardant toujours Madame la Lune. Cela prit des secondes, des minutes avant qu'il ne réponde, ne décrochant pas son regard de monde stellaire. 

Tristan:"Tu as bien imaginer... "

Il lui murmura, déviant son regard vers son Paternel. Un léger sourire vint à sa bouche, il inclinera la tête, comme pour le saluer, puis repris sa marche vers le Chateau. Il le quitta ainsi, en silence, les mains dans les poches. Son silence voulait tout dire. Son sourire également. Comme:"Ne t'inquiète pas, tout va bien, Papa... "

Marie_Eve_1989

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Message par Vanoute Lun 15 Fév - 16:42

Si tu savais PA. C’était une longue histoire. Compliquée. Enfin, du côté de Mel’ ça avait tout d’une histoire bien trop tortueuse. Elle n’avait jamais racontée son histoire à personne, non…ses amis l’avaient vécus par son intermédiaire et celui de Tristan. Quelques bribes ici et là de ce qui se passaient quand ils n’étaient pas avec eux, sinon elle n’en parlait que très peu. Même autrefois. Peut-être parce qu’elle était mal à l’aise de parler de ses choses-là. Sauf que là, le virage du côté malsain avait été très sec. Ce n’était plus malsain, c’était juste mauvais, il fallait que cette histoire se règle et peu importe comment. Pour les deux.

Sauf que ce soir-là, rien n’était près de finir, au contraire, c’était glacial comme relation. Mélina se sentait briser, fripée peut-être même. Il avait eu PA cependant pour s’en occuper, pour prendre soin d’elle. Considérant son état, elle aimait la présence de PA près d’elle. Ce n’était pas comme Amandine qui détestait Tristan par défaut, elle le savait que là, il était terriblement méchant, pas besoin de l’entendre. Et Antho’…Antho’ il ne savait pas quoi lui dire. Il ne savait pas quoi faire. Il aurait pu l’écouter, mais Mélina aurait vu le malaise dans ses yeux. Mouais, ses amis proches ne pouvaient pas réellement l’aider en ce moment, rien qu’ils feraient ou diraient seraient différents des autres fois. PA avait un œil neuf sur la situation.

Et oui, un adversaire terrible, qui faisait des coups bas. Elle était dans un terrible combat quand elle sentit ses mains sur sa taille et ça n’avait rien de romantique, elle ne repoussa pas le mouvement qu’il lui fit faire, mais elle n’osait pas le regarder une fois qu’elle fut face à lui. Elle eut l’impression qu’un poids énorme venait de tomber quand il la prit dans ses bras, quand elle sentie son torse contre son visage. Elle ferma les yeux. Il lui donnait l’autorisation de pleurer. De ne pas s’excuser surtout. Bonne prévention, il connaissait assez la jeune femme pour dire ça et surtout, il avait raison, parce qu’une excuse n’était jamais loin et dans un état pareil, elle se serait excusé au moins des centaines de fois plus tard. Il te donnait le droit d’avoir mal et de l’exprimer. Elle avait déjà mal, ce n’était pas difficile, mais pourtant… il avait dit ce qu’il fallait, peut-être même fait ce qu’il fallait en lui offrant un réconfort physique comme ça pour qu’elle puisse se sentir mieux. Dans la mesure du possible. Ses bras frêles se levèrent légèrement s’accrochant à ses épaules comme à un pilier. Puis elle céda, un sanglot léger, retenu. Suivis de d’autres, mais rien de violent comme pleurs, c’était une tristesse froide qui l’habitait, mais il fallait que sa sorte et là elle pouvait. Elle sera un peu ses mains, enfonçant son visage dans son torse. Oui, une présence, aussi peu connue soit-elle pouvait faire énormément de bien.

De l’autre côté des rideaux, Anthony faisait face à son destin. N’exagérons pas, il faisait face à un souvenir qui le hanterait jusqu’à sa mort sûrement. Il eut une mine de dégout au départ en disant d’une voix qui le montrait très bien.

Anthony : Ce n’est pas les yeux qu’elle a mis sur moi…

Un frisson de dégout passa sur son échine. Puis ils passèrent aux choses sérieuses…Il semblait mal à l’aise. Il la regarda. Il aurait tellement voulu passer un moment agréable avec Amandine et il se sentait égoïste de penser ainsi. Il passa de nouveau une main sur sa nuque.

Anthony : Non, je ne vais pas voir Tristan. Je n’ai pas envie de partir non plus et je crois que PA est avec Mel’, mais je ne sais pas si on devrait…

Aller la voir quoi. Il ne savait pas quoi faire. Mel’ ne reviendrait probablement pas au bal, pas avec ce qui venait de se passer. Il aimerait savoir que tout allait bien de son côté cependant. C’était compliqué!

Gabriel, lui, fut très patient, parce qu’il l’était très naturellement. Il avait regardé la lune pendant ce temps, il restait simplement là pour son fils, c’était ce qu’il devait faire, même si son enfant était un adulte maintenant. À ses mots, un fin sourire, sans joie réelle vint sur ses lèvres.

Gabriel : Mon rôle de père qui doit demander quand même.

Il avait murmuré aussi, doucement, il inclina également la tête envers son fils quand il décida de partir, ne le retenant pas cette fois. Il lui rappelait tellement la femme qu’il aimait…Il le regarda un moment partir avant de se décider à se retourner et à entrer à l’intérieur du chapiteau, rejoindre les directeurs.

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Message par Marie_Eve_1989 Lun 15 Fév - 17:21

Oui, effectivement, je crois qu'ils sont rendus à un stade juste mauvais de leur relation, car ce n'est plus seulement eux qui en subissent les conséquences, mais leur entourage également. Et des fois, se confier fait sortir le mauvais. Ce n'est pas bien de garder autant d'évènements, de paroles et de gestes pour soi, il faut que cela sorte, car quand cela tourne du côté mauvais de la chose, on explose. On fait seulement exploser. Oui, cela devait se régler pour les deux, mais pour aussi ceux qui entoure le duo. Amandine a beaucoup de trop de peine et de haine de voir son amie ainsi. Peter ne connaissait absolument rien de leur histoire et en voyait déjà beaucoup et il se doutait que ce n'était pas sain tout comme situation. Juste à voir comment le Professeur des potions réagissait. 

Oui, c'était bien que ce soit PA qui s'occupe de Mélina. Pas qu'Amandine et Anthony n'aurait pas fait du bon travail, mais ils étaient trop impliqués dans la situation pour être valable. Amandine détestait trop le Stagiaire d'Anthony pour être neutre dans ce genre de situation. Puis, peu importe ce qu'elle disait, elle se répétait toujours, disait toujours le même discours qui consistait d'arrêter cette relation malsaine, d'avancer, de voir de nouvelles personnes. Qu'elle ne pourrait pas avoir de la peine comme cela continuellement et c'était peut-être pas ça que voulait entendre Blanche-Neige à ce moment précis. Anthony était pris entre deux eaux. Son ami et son amie. Non, effectivement, le Sincère était la meilleure personne pour prendre soin d'elle à ce moment précis de la soirée. 

Avec son oeil neuf sur la situation, il apportait une façon différente d eta consoler, de voir une éventuelle fin. C'est qu'il n'était pas comme Amandine ou Anthony, il prenait soin d'elle différemment. Pas seulement avec des mots ou des regards. Il apportait son soutient avec des gestes et une chaleur que seul, les amis ne peuvent pas apporter. Puis, Mélina se mit à pleurer, à sangloter. Tout doucement, contre lui. Elle s'accrocha légèrement à lui. Pour lui c'était son accord à ce qu'il ressert son étreinte. Donc, c'est ce qu'il fit. Il serra ses bras contre ses épaules, comme s'il pouvait l'attirer encore plus à lui. Lui donner d eta chaleur humaine, du réconfort humain. Il déposera sa joue contre sa tête, fermant ses paupières à son tour. Sa respiration se voulait calma, il se voulait apaisant, pour se différencier de ce qu'elle vivait. Comme s'il prenait sa peine en lui et la calmait. Ce n'avait rien d'une étreinte romanesque, mais ni d'une étreinte frères/soeurs. Il ne bougea à peine, il ne parla pas. Non, seulement sa douce respiration était perceptible. Il restera ainsi jusqu'à temps qu'elle le décide. Jusqu'à temps qu'elle termine ce qu'elle a à sortir de méchant en elle. Il n'était pas pressé. C'était pour cela qu'il l'avait suivi après tout. Pour être là pour elle. Puis, leur étreinte, leur chaleur corporelle n'affectait en rien au froid de l'extérieur. Au contraire, il faisait même chaud... 

Dans le chapiteau aussi, il faisait chaud... Enfin, une autre façon de parler. Anthony et Amandine était dans un dilemme sans fond. Amandine leva son minois pour le regarder. Elle écouta ses mots. Il ne voulait pas partir, il ne voulait pas non plus aller voir Tristan et il parla de Peter et de Mélina. Elle acquiesça d'un mouvement de tête. Même s'il ne termina pas sa phrase, elle savait ce qu'il voulait dire. Oui, ils devraient aller la voir. C'est leur amie après tout, même si le Professeur de balais est là, il faut qu'ils la soutiennent. Même si... Même si elle aurait voulu retourner à la porte d'entrée, l'attendre, quand tout alla bien et qu'il n'y avait que son stress. Mais bon. Elle secoua la tête comme pour chasser cette pensée. Il vit au loin le père de Tristan revenir. Elle se dit donc que de ce côté c'était clot. Elle retourna son regard vers Anthony. 

Amandine:"Tu as raison.... Nous devrions aller la voir..."

Et là, à ce moment, ne sachant pas trop pourquoi, elle se saisit de sa main, entrelaçant ses doigts aux siens. Il pourra sentir que les sien sont glacés. Signe d'anxiété et de stress éminents. Elle fit cela, comme si elle avait quelque chose à se pardonner. Comme si c'était de sa faute si la soirée où elle l'accompagne n'était pas parfaite. Non, Elle ne le regardera pas, mais elle l'entraînera vers la sortie où Mélina et Peter sont sortis. Une fois sortit, elle s'immobilisa, regardant autour d'eux, pour voir une présence connu. C'est qu'il faisait froid dehors. À cette constatation, sa main se ressert sur celle d'Anthony. Puis... Elle les aperçut, derrière le rocher proche du lac. Un enlacé à l'autre. Ses paupières s'agrandirent, relâchant immédiatement la main du Guerrier, comme si on les avait, eux, surpris. Elle porta ses mains à sa bouche, lançant un "Oh mon dieu!" 

Amandine: "Je crois .... qu'elle est .... Entre ... Bonnes mains..."

Elle murmura cela entre ses doigts, stupéfaite.

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Message par Vanoute Lun 15 Fév - 20:14

Oui et Mélina était près de l’explosion depuis déjà quelques temps, mais elle se retenait, se retenait… Elle s’en faisait peut-être trop? Pour elle, elle s’était faite du mal toute seule et Tristan n’avait été que mettre le sel sur la plaie. Elle s’était faite de faux espoirs, c’était attachée à quelqu’un qui, au final, ne voulait pas d’elle. C’était ce qu’elle ressentait. En plus, pour elle, c’était fini maintenant. Sauf que ça c’était fini en pot cassé, en douleur et en haine. En même temps, soyons honnête, ils ne pourraient pas être seulement amis. Il avait toujours eu ce petit quelque chose, elle n’arriverait pas à être seulement amis s’il fallait vraiment qu’elle passe à autre chose. Et son cœur, qui souffrait, qui aimait, espérait que ce ne soit pas fini, leur ‘’histoire’’ pouvait-elle vraiment se terminer de cette façon?

Mais là, il fallait que sa sorte. Un peu au moins. Pourrait-elle vraiment tout dire à PA? Pas qu’elle ne lui faisait pas confiance, mais…il n’avait pas à subir tout ça. Surtout pas lui étrangement. En même temps, son cerveau n’était pas en état de raisonner correctement. C’est pourquoi qu’avec ce qu’il lui dit, elle se laissa aller un brin, juste assez pour se mettre à pleurer cette fois. Et puis, avec le contact physique qu’il lui donnait, elle réalisa qu’elle en avait plus besoin qu’elle ne le pensait. Que seulement ça, lui faisait terriblement du bien. Elle ne pourrait pas parler cependant. Finalement non, les larmes disaient déjà beaucoup et elle n’aurait pas la force de venir à bout de l’histoire et au final, elle sombrerait encore plus dans la tristesse. Elle pleurait…et pleurait…En fait, elle ne sut pas vraiment combien de temps qu’elle pleura, mais ça dura longtemps. De longues minutes à rester blottit contre PA. Puis, quand elle jugea que là…il fallait bien que ça cesse, elle relâcha sa prise, lentement en arrêtant de sangloter. Elle tourna son visage sur le côté, comme pour appuyer sa joue sur le torse de PA. Elle ouvrit un peu les yeux, son regard se portant sur le lac. C’était malsain? Mélina ne le savait pas, sa vie était presque moins compliquée durant la guerre…

Mélina: Merci.

Elle voulut s’excuser, mais elle n’avait pas le droit et elle tentait de respecter l’entente silencieuse qu’elle avait eue avec PA.

Mélina: Je pense que je ne suis pas aussi forte que je le crois…

Murmura-t-elle doucement. Non, là, elle se sentait si faible…trop faible. Elle détestait ça…

Mais avant qu’elle ne parle, il avait eu droit à une petite visite. Amandine appuya le fait qu’ils devaient aller voir Mélina. Oui, il était d’accord. Il alla pour répondre quelque chose, mais elle attrapa sa main. GENRE AVEC LA SIENNE. Arrête Antho’, du calme. Il la suivit donc bien docilement, content malgré tout que ça soit elle qui ait établi le contact, si petit soit-il. Une fois à l’extérieur, il sentit qu’elle serrait un peu la main, il fit pareil. Il regarda autour et quand elle lâcha sa main de surprise, il suivit son regard et lui aussi son regard s’agrandit. OH! Bon, ils n’étaient pas assez idiots tous les deux pour se douter que c’était tout à fait romantique hein, mais quand même! Il murmura à la suite d’Amandine.

Anthony : Tu vois…je m’attendais pas à ça non plus…Viens, laissons-les…

Oui, parce que bon, ce n’était pas bien d’espionner. Il posa une main délicate sur son bras pour la faire pivoter en même temps que lui pour regagner le chapiteau. Une fois à l’intérieur, Antho’ se tourna vers Amandine. Tristan était assez grand, Mélina visiblement aux bons soins de PA… il pouvait peut-être…espérer un petit moment avec Amandine? Oui, il avait le droit.

Anthony : Amandine, j’ai…quelque chose à te demander. Peut-être que tu vas vouloir rentrer bientôt avec tout ce qui se passe et peut-être aller voir Mel’ quand…heu…bah, elle va revenir, mais…j’aimerais vraiment…que tu m’accordes une danse. S’il te plait.

Oui, il avait fait des efforts pour le demander comme ça, parce qu’il trouvait ça gênant un peu, mais il la voulait sa danse, s’il fallait qu’ils quittent rapidement, il voulait chérir le souvenir d’au moins une danse avec sa jolie Amandine…c’était pas trop demandé n’est-ce pas?

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Message par Marie_Eve_1989 Mar 16 Fév - 17:55

Peter attenda que la tempête se calme. Que l'enveloppe humaine au creux de ses bras apaise ses pleures. Il était patient le Sincère. Il ne voulait pas la brusquer. Il ne savait pas trop ce qu'il faisait. Il suivait son instinct, celui qui commandait sa vie et à date, dans sa jeune vie d'adulte rien n'était arrivé pour rien, suite à une décision prise par son instinct. Des fois, les mots ne peuvent pas calmer les tempêtes du coeur et de l'âme. Un bon peau à peau abaisse les barrières et laisse les larmes tombée.s C'est ce qu'il voulait lui offrir. Trop retenir sa peine ne fait qu'aggraver la rage qui augmente en soi. Il accueillit ses larmes comme si cela était ses paroles. Il ne dit absolument rien. Il ne pensa pas à grand chose non plus. Il voulait qu'elle prenne toute la place qu'elle avait besoin à cet instant. 

Lui non plus, il ne savait pas combien de temps cela avait duré, mais cela avait peu d'importance. Il s'était montré, il avait voulu donner son soutient, peu importe le temps et la façon que cela se ferait, il subirait, sans subir, car c'était ses choix. Puis, il sentit que l'emprise de Mélina diminua. Blanche-Neige tourna sa tête, l'accotant sur son torse. Il reculera un moment son faciès, lui laissant l'accès, pour se placer. Une fois placée, il posera son menton contre son front. Délicatement, sans la brusquer. En une légère caresse. C'était malsain? Cela n'avait rien de malsain, si les deux en avaient conscience. Ils étaient des adultes. Peter était très mature pour son âge. Il savait que cette étreinte n'était pas une déclaration d'amour. Ni pour lui, ni pour elle. c'était de la chaleur humaine qu'il offrait en forme de soutient. 

Puis elle le remercia. Puis elle lui dit qu'elle n'était pas aussi forte qu'elle le croyait. D'un mouvement, il recula légèrement son torse, se saisissant de son minois à deux mains, pour qu'elle le regarde, pour plonger ses perles dans les siennes. Elle pourra y voir de la compassion, pas de jugements, pas de questions. Simplement une présence. Il resta comme cela un moment, puis il lui murmura... 

Peter: "Je ne te crois pas faible Mélina. Qui a dit que ceux qui montrent leurs émotions sont faibles et ceux qui ne les montrent pas sont fort... Je crois qu'il faut beaucoup de force pour exprimer ses sentiments... "

Et c'était tellement gentil de la façon qu'il le disait. Ce n'était pas des paroles en l'air, qu'il aurait dit à n'importe qui. Le Professeur de balais le pensait réellement. Il restera là, un moment, comme ça. À tenir son minois et à la regarder dans les yeux... 

De l'autre côté, en fait, pas si loin de là, Amandine et Anthony les avait surpris, secrètement. La Blondinette s'était figée, elle ne s'attendait tellement pas à cela. Les mains sur sa bouches, elle n'attendit presque pas les premiers mots du Guerrier. Clignant des yeux à répétitions. Elle devait rêver, ce n'était sans doute pas vrai, son imagination devait lui jouer des tours. Puis, une main vint la sortir de ses pensées. Une douce poussée de celle-ci la fit bouger vers le Chapiteau. Elle suivi le Grand Brun, sans lâcher du regard le Duo collé. Jusqu'au moment où elle ne put plus les voir. Elle tourna son minois vers Anthony. Re-clignant des paupières. Secoues-toi un peu, Amandine. Ses autres paroles la fit redescendre sur terre. Oh! Une demande. Encore. Elle l'écouta, les minimes devant sa bouches, encore. Il parla de rentrer. D'aller voir Mélina. Ils venaient de la voir, non ?OHHHHH! Une danse. Ah oui, c'est vrai, tu l'accompagnais. Elle retira enfin ses mains de sur sa bouche, un léger sourire vint remplacer sa moue de surprise. Il était adorable. Cela le gênait? Cela la gênait également. Au moins, personne de leur entourage immédiat était là, c'était ça. Le reste de l'école oui, mais cela n'avait pas d'importance, car sa façon de demande était si... mignonne.

Amandine:" Je peux bien t'accorder une danse... Après tout, je suis ta cavalière..."

Elle murmura ses quelques mots, puis, attrapa de nouveau sa main avec ses doigts. Elle l'apporte vers la piste de danse. Oui, une danse avec lui lui fera du bien. Une fois au centre de la piste, une valse commença. Plus slow que la première danse, plus douce. Moins festive. Elle se stoppa et se tournera vers Anthony, le regardant, ses joues s'empourprèrent, relâchant délicatement sa main. Non, à ce moment, elle ne savait pas quoi faire du tout. Ses minimes se remettant à jouer entre elles. C'était devenu une petite fille, oui!

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Message par Vanoute Mar 16 Fév - 19:43

Les mots, c’est bien, mais parfois il y a bien plus que des mots. Les émotions peuvent tellement se transmettre de d’autres façons. À bien y penser, les mots ne rendaient pas toujours parfaitement l’état d’âme d’une personne. Tout comme un câlin peut consoler beaucoup plus que des paroles également. Sauf que PA devait avoir un don, parce qu’il arrivait parfaitement à faire les deux en ce moment. En réalité, si tous les deux ne se connaissaient pas beaucoup, ils venaient de devenir beaucoup plus proches d’un seul coup. Et ce n’était pas mal. C’était juste le bon moment, c’était naturel. Ça arrive parfois ce genre de rencontre.

Elle n’avait pas non plus l’impression que ça le dérangeait le temps qui passait. Il suivait son rythme à elle, il n’était pas pressé et ça aussi, ça se sentait beaucoup. Il fallait avouer que, ce qu’il ne savait pas, c’était que Mélina ne laissait pas nécessairement laisser facilement les gens entrer dans sa bulle. Elle n’était pas très tactile en général. Sauf avec les gens proches d’elle. Mais un inconnu qui sent le besoin de toujours toucher l’autre en parlant ou peu importe, ça l’agaçait au plus haut point. Là, disons que c’était un gros câlin, mais ça allait. Elle restait même là alors que ses pleurs de calmaient, que son cerveau se réveillait et que son cœur désenflait un peu. Ça avait fait beaucoup de bien. L’air de rien.

Elle suivit le mouvement quand il recula et se saisit de son visage. Elle soutint son regard, réalisant peut-être leur proximité, mais elle ne bougea pas plus, écoutant attentivement ses paroles…qui firent un effet monstre dans la tête de la jeune femme. Elle l’observa longuement, une larme ou deux coulants encore sur ses joues. Il ne le savait peut-être pas, mais c’était sans doute une des plus belles choses qu’on lui ait jamais dit. Ce n’était pas tu as le droit d’être faible, c’est ta faiblesse est en fait une force plus grande que tu ne le crois. C’était beau, c’était gentil. Elle avala sa salive en ayant un faible sourire, un vrai, un tout petit. Un sourire attendri, un sourire d’enfant qu’on réconforte. Elle murmura à son tour.

Mélina:‘’Je n’avais jamais vu les choses sous cet angle…je…c’est vraiment gentil PA.’’

Elle prit une inspiration, comme une vraie bouffée d’air en fermant un peu les yeux, elle avait tellement la tête qui lui faisait mal encore, comme si son cœur battait dans ses tempes.

Sous le chapiteau, la fête battait son plein. Enfin, c’était ce qu’Anthony réalisa quand il entraîna Amandine à l’intérieur pour laisser PA et Mélina ensemble. Il se sentait un peu coupable de ne pas l’aider, mais à voir ce qu’il avait vu, il n’aurait jamais pu lui apporter autant de soutient et de présence que le jeune enseignant.

Le sourire de l’aide-infirmière le rassura un peu, il aimait la voir sourire. Il n’était pas compliqué hein? Ses paroles le firent sourire un peu plus et il hocha un peu la tête comme pour dire qu’il était d’accord puis elle prit de nouveau sa main. Pitié, un calendrier quelqu’un? Bref, pas le temps de blaguer, il fallait profiter. Il avait eu un oui donc…quand elle se stoppa et sembla ne pas savoir quoi faire, il se dit qu’il avait le droit d’initié le mouvement hein? Il posa alors une main autour de sa taille. Il ne la quittait pas des yeux, comme s’il espérait ne pas la brusquer. Il était mignon à voir. Lui si grand, si fort et là, tout délicat. Son autre main allant prendre celle de Boucle d’Or. Il lui sourit, un léger sourire comme pour la rassurer. Il se mit donc doucement à danser, espérant qu’elle suive l’élan du Guerrier. Il n’était pas le meilleur danseur, mais il fallait vraiment être un crétin pour ne pas comprendre les principes d’un slow hein. Alors il était pas si mal. Il vint, bien tranquillement, appuyer son menton contre sa tempe. Il était un peu plus grand qu’elle, mais pas tant que ça, assez pour qu’il puisse rester droit et avoir cette position. Ouf. C’était beaucoup pour eux! Et personne n’était là pour voir. Enfin, les élèves allaient sûrement en parler…c’était sûr.

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Message par Marie_Eve_1989 Mar 16 Fév - 20:22

Oui, c'est qu'ils étaient quand même proche, Les Professeurs. Pas que cela le gênait, au contraire. S'il était capable d'initier le geste, c'est qu'il était capable de vivre avec aussi. Peter était effectivement très mature pour son âge. Il semblait être plus vieux, il agissait avec beaucoup de maturité. On aurait dit un adulte accompli. Il avait une vieille âme, qui aimait prendre soin de celle des autres. C'était plus fort que lui. Certes, avec Blanche-Neige, c'était encore plus facile. C'est sûr qu'il avait un parti pris, mais cela était tout à fait naturel également. 

Elle soutint son regard. Tant mieux, car lui, il ne détourna pas son regard. Non, ses perles étaient accrochées aux siennes. Une larme ou deux coulaient encore, lorsqu'il prononça ses mots. Ses pouces auront tôt fait de passer sur ses perles d'eau, comme pour les essuyer. C'était une des plus belles choses qu'on lui a dit? Dommage, car elle le méritait et c'était tellement vrai. Il faut beaucoup de courage pour avouer ses sentiments, qu'ils soient de la tristesse, de l'amour ou de la joie. Elle devait se sentir courageuse d elles montrer. Après tout elle venait quand même d eta maison de Gryffindor, le courage faisait partie d'elle et pour lui, c'était du courage à l'état pur ce qu'elle venait de faire. Puis, elle sourit. Un léger sourire. Le Sincère l'imita. Pas un très grand sourire, juste un petit, pour répondre au sien. Il ne voulait pas montrer trop d'émotions, il voulait seulement suivre sa cadence, à son rythme. Comme s'ils dansaient eux aussi, sans musique, sans pas, juste avec des mots, du silences et des émotions. 

Puis elle parla. Elle lui dit qu'il était gentil. Ses paupières se refermeront un moment à ce compliment, gardant son petit sourire. Elle lui avoua de n'avoir jamais vu les choses de cet angle. Cela lui faisait du bien d'entendre cela. Il ouvrit ses paupières, replongeant ses yeux dans les siens. Ses mains glisseront doucement sur ses joues, pour se retirer. Sans geste brusque. Non, une délicate attention. Mais, il garda la proximité entre les deux corps. Si elle voulait se décoller elle le fera, comme bon lui semble. Pour l'instant, son corps proche lui procurait la chaleur. Puisqu'il faisait tout de même froid, qu'il lui avait passé son veston et que pour être honnête, il était bien où est-ce qu'il était. Il murmura...

Peter:"C'était totalement sincère... Veux-tu que je te raccompagne? Ou je peux te proposer de boire la bouteille de champagne en ma compagnie... Ou... Humfff! À vrai dire, je vais être honnête avec toi... Je ne pourrai pas te laisser partir... Enfin, ce que je veux dire, c'est que je vais avoir d eta difficulté à te laisser seule..."

Dans la vie il y a tous les gens et il y a Peter Adams Morrisson. Il est beaucoup trop honnête comme personne. Il devait lui dire, car il se sentait mal, il n'envisageait pas de la laisser partir, seule avec ses sentiments, mais il lui laissait le choix. Si c'est ce qu'elle désirait, il le ferait, mais cela ne viendra pas de lui. 

Alors que de l'autre côté, là aussi, on est beaucoup trop proche. Bon! Sourire après sourire. Ils étaient là un en face de l'autre. Attendant la musique. Qui finit par arriver. Il a eut contact de main. Et bientôt de corps. Oui, car le Guerrier initia le contact. Elle a fait donné son accord après tout. Sa main ira sur sa taille. Il pourra sentir sa respiration augmenter un brin. C'est qu'elle n'avait pas l'habitude de se faire toucher, encore moins par un Homme qui n'était pas son père, son frère ou Félix. Et d plus, le fait que ce soit Anthony n'aidait en rien. De l'autre main, il se saisit de la sienne. Ho mon dieu! Il la regardait dans les yeux. Ses joues s'enflamment. Sa respiration perd quelques battements. Elle soutenait son regard. Mais elle, sans sourire. Non, le regard suffisait pour dire:"C'est correct, je ne vais pas mourir. Elle se rassurait également en répétant cela, continuellement. Puis, il se mit à danser. Lentement, mais surement, elle suivra son pas. Gardant la cadence. c'était plus fort qu'elle, elle savait suivre, elle savait danser. Mais il se débrouilla très bien, le Professeur de défenses. Puis, elle perdit le contact visuel, car il approcha sa tête pour mettre son menton sur sa tempe. OUF! Elle se permit de fermer les yeux. Il pourra donc sentir la Demoiselle prendre une énorme inspiration, suivi d'une délicate expiration. Oui, c'était beaucoup pour eux, pour elle. Elle ne dira rien, elle essayera de ne penser àa rien. Juste aux pas, juste au fait qu'elle danse. Une chance qu'il n'avait personne pour les voir. Le étudiants étant déjà de trop. Oui, il ne fallait pas penser à ça

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Message par Vanoute Mar 16 Fév - 23:58

Très mature en effet. Une maturité d’une sagesse incroyable. Une maturité qui faisait du bien. Ce n’était pas donné à tout le monde de vouloir s’occuper des autres et surtout de le faire aussi bien que PA. Il était si tendre, si doux dans ses gestes. Ça aussi, c’était un peu nouveau pour elle. Triste quand on y pense. Enfin. Courageuse? En fait, elle n’était tout simplement pas capable de garder certaines émotions pour elle. Sauf la tristesse. La tristesse elle ne voulait tellement pas la montrer normalement qu’elle finissait par exploser. Elle ne voulait tellement pas que les gens la voient malheureuse ou triste…non, elle forçait les sourires, allait vers les gens pour s’occuper…Ou elle se plongeait dans ses cours, ça c’était ce qu’elle avait fait dernièrement.

Mélina avait toujours tendance à trop penser, c’était sûrement son pire défaut. Mais là, là ça allait, elle vivait le moment présent, parce que le passé lui faisait bien trop mal et que le futur lui faisait peur. Non…PA lui offrait une possibilité énorme en lui offrant la possibilité de se vider un peu le cœur et la tête sans offrir de jugement en retour, sans qu’il ait vraiment d’effets secondaires. Non, en dehors d’une petite culpabilité qui allait habiter l’enseignante, tout allait aller bien. Mélina, pour commencer, ne fit pas un mouvement pour bouger d’où elle était, elle n’en voyait pas…le besoin. Non, elle était bien et même avec le veston, elle sentait le froid de la nuit. Il se remit à lui parler…en donnant plusieurs choix à la jeune femme. Elle eut un sourire attendri quand il termina, difficulté à la laisser seule? C’est vraiment adorable. Imaginons si elle s’était sauvée, elle serait encore en train de pleurer sa vie, seule. Non, là elle était accompagnée et très bien en plus.

Mélina : Tu en as fait beaucoup pour moi déjà…

Elle alla pour lui dire qu’il n’était pas obligé, mais il le savait et il faisait ça pour elle. Elle avala sa salive en regardant le chapiteau, resserrant un peu le veston autour d’elle. Elle ne voulait pas être seule, mais ça, elle n’avait pas le courage de lui dire. Elle n’aimait pas être seule, son cerveau sans supervision était un désastre.

Mélina : Il commence à faire froid et tu dois avoir pas mal froid aussi, non? Je ne veux pas retourner au bal, ouais, non, sans blague? Le champagne me tente, moi et mon côté alcoolique, oh, tentative d’humour un peu raté avec ses grands yeux rougis par les pleurs, alors…je ne sais pas…

En fait, elle savait à moitié, mais…ça ferait peut-être bizarre. Elle avait terriblement envie de se mettre en pyjamas, boire le champagne…mais que PA reste avec elle. Elle ne voulait pas être seule et n’osait le dire. Surtout que là, la crise était passée, mais elle se sentait encore bien fragile, l’image du rire de Tristan revenant parfois hanter ses pensées pendant qu’elle parlait ave PA.

Non non, on était pas trop proche de l’autre côté. On était bien. En tout cas, Anthony, était bien. La pauvre, il la sentait si fragile sur ses grands mains de gros bûcheron. Il tentait pourtant d’être très délicat. D’observer toutes ses réactions pour voir s’il avait encore son autorisation. Si elle ne prenait pas un peu de plaisir à la danse, ça ne valait pas le coup. Il savait cependant que c’était un gros pas pour Amandine. Il regardait droit devant lui en se concentrant sur la musique et aussi sur la respiration d’Amandine. Il ne parlait pas, c’était un instant terriblement magique, mais un instant fragile. Anthony le savait. Il continua donc de danser jusqu’à ce que la musique s’arrête. Parce que toute bonne chose à une fin. Il ne prit pas 20 ans pour la relâcher. Délicatement, il délaissa sa taille, sa main finissant par quitter celle d’Amandine, mais encore là, il n’osa pas trop parler…il attendait peut-être qu’elle s’en remette ou…quelque chose comme ça.

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Message par Marie_Eve_1989 Mer 17 Fév - 8:49

Blanche-Neige lui dit qu'il en avait beaucoup fait, déjà. Non, c'était un centième de ce qu'il pouvait faire. Il eut un sourire en retour du sien et en retour de ses paroles. Comme pour la remercier, silencieusement. Une chance qu'elle ne lui a pas dit qu'il n'était pas obligé, car pour lui, cela aurait valu comme des excuses. Non, effectivement, il faisait cela pour elle, car il en aurait envie. Sinon, il ne serait pas là, ça c'est sûr. Et le Professeur de balais n'aurait pas agit de la sorte. Puis, elle parla du froid. 

Froid? Est-ce qu'il avait froid? En fait, oui, c'est sûr qu'il ressentait un peu le froid qu'il faisait. Ils étaient quand même en mi-Novembre, la nuit, près d'un Lac. Donc, oui, pour ça il avait froid, mais d'une certaine manière, il avait également chaud. C'est qu'ils étaient encore proche l'un de l'autre. Elle n'avait pas reculé, lui non plus. Ce presque contact lui procurait de la chaleur. Donc, il était dans un entre deux. Entre le froid et le chaud. Vous savez? Lorsqu'on a la chair de poule, mais on ne sait pas si c'est parce qu'il fait trop froid ou trop chaud. C'est ce qu'il ressentait en ce moment. Mais ça, il se fera une petite de gêne, il ne lui dira pas. Honnête? Oui! Mais il y avait des choses, pour le moment, qu'il pouvait garder pour lui. 

Peter:"C'est sûr ... Rentrer me ferait du bien..."

Il lui sourit, croisant ses bras sur son torse, juste pour se donner un peu plus de chaleur, sans toutefois quitter son regard du sien. Elle ne voulait pas retourner au bal? Il s'en doutait, ce n'était pas dans ses choix et lui non plus n'aurait pas eu le plaisir de retourner parmi des gens et de faire comme s'il ne s'était rien passé. Le Sincère voulait être avec elle, mai pas avec tout le monde non plus. Puis, elle proposa de façon bien peu subtile le champagne, dans un essai d'humour. Son sourire s'accentua... Son côté alcoolique... Mais elle ne savait pas. Pour lui, c'était une perche qu'elle lui tendait. Elle avait froid, elle voulait entrer. Le champagne lui tentait, pas le bal. Certes, le Professeur de potions ne dit pas : Viens avec moi, boire le champagne, mais il avait quand même beaucoup de sous-entendus. Ou encore une fois, c'était l'instinct du Joueur de Quidditch qui parlait. Bref. 

Peter:"Je te propose quelque chose... Et si ça ne te plait pas, tu as tous les droits de dire non? D'accord! (Son sourire était tendre, gentil.) On apporte ce succulent champagne, nos deux coupes et nous allons les boire dans mes appartements... Ou les tiens..."

Il proposa, oui ses quartiers, car il ne voulait pas l'obliger à aller dans les sien. Peut-être qu'elle n'était pas prête à le laisser entrer dans ses lieux et il lui laissait, encore une fois, la décision finale. Pour ce qui est de pyjama... Il aura toujours moyen de s'arranger, non ? On verra bien ...

Puis, de l'autre côté. Il avait eu une danse. C'est qu'il était délicat le Guerrier. De si grandes mains, mais si douces, qui l'apaisaient un peu, la Boucle-d'Or. Du plaisir, elle en avait aux deux secondes. Quand elle ne pensait pas trop, elle se laissait aller et cela durait, généralement, deux secondes... Son corps suivait la cadence. Suivait les pas du Professeur. Ses paupières restant closes. Non, elle ne voulait pas voir personne. Puis, la danse se termina. Se qui lui fit ouvrir les yeux, c'est le départ de contact d'Anthony. Elle le regardera. Ses perles S'agitèrent tout d'un coup. Elle se posait trop de questions. Cela avait été rapide, il l'avait lâché si rapidement... Certes, doucement, mais c'était trop rapide, pour elle. Avait-elle fait quelque chose de mal? Elle avait mal dansé. Elle lui avait marché sur les pieds. Il regrettait? Il réalisait qu'après cette danse, il n'aurait pas dû l'inviter. Oui, ses prunelles posaient toutes ses questions, silencieusement, au Beau Brun. Elle reculera, sans le lâcher du regard, en silence... Puis...  

Amandine:"Je suis désolée..."

C'était murmuré, à peine articulé. Elle ne se sentait pas bien. Tout d'un coup, elle réalisa, elle et son trop peu de confiance en elle, qu'elle ne pourra plus jamais être comme avant envers Anthony. Comment on agissait là maintenant. Au début de la soirée, elle t'avait dit de l'aider. Là, ce moment de panique, était un grand cri à l'aide. Avait-elle aimé la danse. Trop peut-être, car cela lui faisait peur. Si les choses changeaient trop... Oui, C'est ça. Puis, elle décrocha son regard, car elle se retournait, pour partir vers une sortie.

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Message par Vanoute Mer 17 Fév - 18:31

Mais ça elle ne le savait pas qu’il pouvait faire mieux. Elle ne pensait pas qu’on pouvait faire mieux en réalité. Force de l’habitude. Oui, elle faisait des efforts pour ne pas s’excuser, c’était quand même quelque chose! Genre, Antho’ et Amandine devait vraiment en avoir marre qu’elle passe son temps à s’excuser…Antho’ lui avait même déjà fait la blague qu’heureusement qu’elle ne s’excusait pas pour les fois où elle n’était pas là pour s’excuser. Elle l’avait frappé. Et sans s’excuser après hein.

Maintenant qu’ils n’étaient plus enlacés et qu’elle se remettait un peu de ses émotions, elle réalisait le froid qui passait au travers le tissu léger de sa robe. Bien sûr, elle avait le veston de PA, mais ça n’avait rien d’un manteau. Elle et ses petits souliers pour faire joli… un plan pour qu’elle tombe malade. Elle mena ses mains sur le veston pour le resserrer un peu contre elle. Appuyant le fait qu’elle trouvait qu’il faisait de plus en plus froid. Rentrer lui ferait du bien à elle aussi, ça c’était certain. Elle aurait aimé éviter toutes les personnes qu’ils pourraient croiser…en même temps, la fête battait son plein et ça ne faisait pas 4 heures que c’était en marche donc les gens ne rentreraient pas aussi tôt… Ensuite il eut une idée, en précisant bien qu’elle avait le droit de dire non. Oh PA, Mélina aussi était le genre de personne qui ne faisait pas ce qu’elle ne voulait pas faire. Elle lui retourna quand même le sourire, c’était attentionné de sa part. L’idée n’était pas mauvaise. Mais ça n’aurait pas l’air étrange? Oh arrête de te poser trop de questions. Elle acquiesça d’un mouvement de la tête.

Mélina : Oui, ça me va. J’espère que l’on ne croisera personne…je n’ai pas envie de répondre aux questions des élèves à propos de mes yeux rouges comme ma robe…

Un nouveau rire, léger, un peu forcé. Tu allais comprendre, PA, que Mélina était comme ça. Elle voulait toujours dédramatiser les situations, principalement ça la concernait, parce qu’elle culpabilisait de se sentir comme ça. C’était pour ça qu’elle explosait d’ailleurs, elle ne se permettait peut-être pas toujours d’extérioriser sa tristesse. Enfin, elle manifestait quand même son inquiétude de croiser des gens, elle espérait que non, vraiment beaucoup même. Elle initia alors lentement le mouvement pour bouger, parce que bon, ils se parlaient encore de si près. Elle recula d’un pas, lui souriant avant de finalement le quitter des yeux pour aller vers le rocher, prendre les coupes. Changement drastique des larmes il y a quelques instants? Ce n’était peut-être qu’une pause? La haine était peut-être revenue aussi. Oui la haine, ça se gérait mieux.

Anthony faisait peut-être trop attention. C’était un grand maladroit quand il s’y mettait. Et il s’en rendit rapidement compte quand il voulut donner de l’espace à Amandine après la danse. Il soutint son regard, son bref sourire s’estompa un peu en voyant le regard de la Belle. Qu’avait-il fait? Il se le demandait, c’était trop près comme danse peut-être? Il fallait faire des petits pas ave Amandine et du coup il eut l’impression d’en avoir fait un de trop puis elle s’excusa. Là, son regard s’adoucit soudainement. Elle était sérieuse? Comme il n’était pas très doué pour les mots parfois, il lui fit un de ses plus compatissants sourire, genre non, tout allait bien Amandine, c’était ce que son sourire voulait dire. Mais avant qu’il puisse dire quoi que ce soit, elle pivota lentement. Ah bon sang, il se trouvait terriblement stupide en ce moment. Cependant, il n’allait pas l’être plus en la laissant partir comme ça. Il frôla sa main, sans la prendre avant de se positionner devant elle. Il pencha un peu la tête comme pour la regarder droit dans les yeux.

Anthony : Je ne sais pas pourquoi tu t’excuses, mais tu n’as aucune raison de le faire…je…j’ai adoré ma danse avec toi. Je n’ai…jamais voulu te brusquer Ama’. Mais s’il te plait, ne t’excuse pas si c’est moi qui fait une bêtise…

Il était sincère et c’était murmuré que pour elle. Il espérait qu’elle ait compris l’essentiel de ce qu’il voulait dire. En avait-il trop dit? Était-ce clair ? Brusquer? Tu venais de lui faire peut-être encore plus peur. Mais Ô combien il espérait ne rien avoir gâché…

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Message par Marie_Eve_1989 Mer 17 Fév - 21:22

Bon, bon, elle lui dit que ça allait, comme idée. Il en fut content. Un sourire vint à ses lèvres. Sauf qu'elle ne voulait pas que les gens la voient ainsi et il comprenait. Déjà que lui, un pure inconnu, l'avait vu ainsi, c'était déjà beaucoup. Certes, il n'était pas comme les autres, mais quand même. C'était déjà ça. Inquiètes-toi pas Blanche-Neige, il prit note de tes bonnes paroles. Le Sincère fera en sorte qu'il ne croise personne. Puis, la Demoiselle se mit à reculer. Il perd son regard un instant, car elle initia le mouvement, pour aller chercher les coupes. Il décroisa les bras de sur son torse et ira se saisir de la bouteille de champagne qu'il avait mis dans le lac pour garder au froid. Cela avait fonctionné, la bouteille était glaciale dû à la température d l'eau. Puis, il s'approchera d'elle, posant son emprise d'une main sur son avant-bras. Doucement, sans la brusquer, cela en était sûr. 

Peter:"Viens, on vers faire le tour par là, il n'a pas d'entrée pour le chapiteau... Et c'est plus subtil de ce côté du chateau."

Il l'entrainera doucement par le chemin qu'il venait de lui indiquer par les mots. Il fit attention à observer qu'aucune personne, surtout un étudiant, les verrait. Une fois au chateau, il ira vers les escaliers, gardant une bonne cadence de marche, elle avait des talons tout de même. Il lui lança souvent un regard en biais, pour être sûr que tout allait pour elle. Le Professeur de balais se dirigeait vers ses appartements à lui. Il ne savait pas où est-ce qu'elle logeait et elle n'avait pas donné de choix. Donc, il en déduira que sa chambre convenait. Elle se situait dans l'une des tour, face au terrain de Quidditch. Elle était presqu'au sommet de la tour. Donc, il avait une belle vue. Lorsqu'on y entra, on remarqua qu'elle était petite, mais elle était si bien aménagée que cela compassait. En entrant, à la gauche, il avait une porte qui devait mener à sa salle de bain. Sur le mur de la porte d'entrée, il avait des portes, en bois, encastrées qui composaient son garde-robe. Pour le reste, on était déjà dans le lieu. Des murs  en bois et le plafond également. Un coffre composait sa table de chevet, où il y avait des cadres animés qui représentait sa mère et son père. Des ami(es-s). Lui sur un balais, durant un match de Quidditch. De chaque côté de son lit, il avait des lanternes accroché sur des tiges d'acier. Au-dessus de son lit, un lustre en crystal était installé. Le devant de son lit était composé du trois-quart de fenêtres, pour apprécier la vue qu'il avait. C'était petit, mais c'était rustique, champêtre et chaleureux. 

Lorsqu'il entrera dans sa chambre, il lâchera le bras de Mélina, allant déposer la bouteille sur le coffre, pour allumer les lanternes et le lustre d'un coup de baguette, pour donner un peu de lumière, mais pas trop, ambiance feutrée. Il faisait chaud. On était bien. Il avait un parfait contraste avec l'extérieur. Il se retournera vers Mélina, avec un léger sourire. 

Peter:"Si tu veux, j'ai des vêtements qui pourront te faire et tu te sentiras sans doute mieux.Moi, en tout cas, je vais me changer... Si cela ne te pose pas de problème..."

Il ira vers une porte encastrée, l'ouvrira et en sortie deux pantalon et deux t-shirt. Sans savoir sa réponse, il prévoyait le coup. Il s'était choisit pour lui, un pantalon style aladdin en jeans, de couleur beige et un t-shirt noir pour le haut. Pour elle, un pantalon aussi aladdin, mais dans un tissu léger, noir et un t-shirt blanc, bien normal, qui aura déposé sur le lit. 

Peter:"Je vais aller dans la salle de bain, peu importe ton choix, cogne à la porte quand tu seras prête... D'accord."

Il la quitta du regard, avec son magnifique sourire, se dirigeant vers la salle de bain. 

Puis de l'autre côté, cela devenait un peu plus tendu. Enfin, presque. Anthony était un grand maladroit, Amandine aussi. Elle ne savait pas comment agir et cela paraissait, car ses réactions étaient décuplées. Oui, elle s'était retirée, elle s'était excusée. Mais, il l'avait suivi. Il frôlera sa main, ce qui aura pour effet de la stopper dans son élan. Le regard au sol, mais il se mit devant elle, voulant plonger son regard dans le sien. Elle n'avait pas le choix, elle relèvera la tête vers lui, plongeant ses billes dans les siennes. Les joues rouges, de timidité et de maladresse. Un regard qui posaient encore beaucoup trop de questions. Puis, le Guerrier parla. Elle l'écouta, elle n'avait pas d'autres choix. Ses mains posées sur son abdomen, comme pour retenir sa respiration, pour ne pas qu'elle s'affole. Il lui avoua d'avoir aimé sa danse avec lui. ELLE AUSSI ELLE L'AVAIT AIMÉ! C'était peut-être pour cela qu'elle avait voulu fuir, fuir ce qu'elle ressentait. Mais une chance qu'il l'avait retenu, oui. Des petits pas? Oui, ils en faisaient, mais elle ne devait pas ensuite reculer. Une bêtise, non? Il n'en a pas fait, c'est sa confiance qui s'agite. Elle se sentait bête d'avoir réagi ainsi, car c'était elle qui était dans l'erreur et non l'inverse. 

Amandine: "Tu ... n'as rien fait... Absolument pas. J'ai peut-être un peu trop aimé ma danse. Je ne voulais peut-être pas qu'elle se termine..... AHAHAHAHAHA"

Calme, s'il te plait, ton rire. c'était un rire nerveux. Car en si peu de mots, elle en avait beaucoup. Elle avait murmuré le tout, sauf le rire, qui était un peu trop fort. Elle voulait s'auto-frapper la tête. Mais qu'elle enfant. Il avait beaucoup de peut-être dans sa phrase, mais elle pensait ce qu'elle disait. Oui, elle avait aimé cela, non, elle ne voulait pas que cela s'arrête. Il s'était retiré trop rapidement. Ce qui lui avait fait poser des question. Oui, ses mains s'accrocha àa son ventre, car sa respiration manquait des tours. Elle ne le lâcha du regard, non elle s'y accrochait. Puis elle continua, en murmurant. 

Amandine:"Je m'excusais... Car je ne sais pas comment agir, je te l'ai dit. Même Mélina à l'air plus à l'aise avec Pa que moi avec toi... Ce qui n'est pas normal... " (Tu parles beaucoup, cela devait être un trop plein d'émotions et trop de champagne en si peu de temps, oui cela devait être ça. Qu'on vienne la chercher, s'il vous plait. )

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Message par Vanoute Mer 17 Fév - 23:39

Elle se saisit de coupe d’une main, les mettant à l’envers et en les tenant par les pieds ou en tout cas…elle les tenait d’une façon qu’elle pouvait le faire à une main sans les échapper. Puis elle sentit une petite pression sur son avant-bras, elle se tourna vers PA en souriant légèrement. C’était gentil.

Mélina : Je te suis.

Elle le suivit gentiment par le dit chemin, trouvant quand même drôle que le jeune homme connaisse déjà si bien le château alors qu’il n’y avait pas étudié. Il faudrait bien qu’elle lui montre les coins intéressants un jour. Ceux que l’on connait seulement quand on a été élève. La plupart des trouvailles venaient d’Antho, mais Amandine et Mel’ en avait fait quelques-uns bien que leur préféré restait la salle de théâtre. Et oui, tout allait bien pour la jeune femme, elle était terriblement alerte, elle craignait peut-être de recroiser le Prince. Oui, ça oui. Donc une fois dans un coin moins possible de se faire voir dans le château, elle l’arrêta un bref instant pour retirer ses chaussures. Le froid des pierres lui perça presque l’âme, mais c’était mieux que les ampoules qui commençaient à se former sur ses talons. Elle fut encore plus contente lorsqu’ils se mirent à grimper les marches qui menaient à ses appartements à lui. En entrant, elle ne put s’empêcher d’observer lentement l’endroit. La fenêtre immense lui plaisait. Elle en sourit légèrement. Cet endroit lui plaisait, c’était joli, c’était simple. Elle se dirigea d’instinct vers les fenêtres pour voir à l’extérieur, lentement, osant avancer dans la chambre. Elle avait doucement repoussé un bout de rideau pour voir à l’extérieur pendant qu’il lui parla et quand il parla de lui prêter des vêtements, elle tourna son regard vers lui, un bref sourire sur ses lèvres. Il lisait dans ses pensées pour avoir deviné qu’elle avait terriblement envie de se changer?

Mélina : Non absolument pas…et ma vie pour des vêtements plus confortables.

Dit-elle un peu en ricanant. C’était peut-être un peu gênant de prendre ses vêtements, mais il l’offrait…si gentiment? Cette situation était-elle gênante? Pourtant, elle ne se sentait pas terriblement gênée. Un peu peut-être, mais ce n’était pas mal. Amandine, elle avait besoin de toi, juste une petite voix dans sa tête pour lui dire qu’elle avait le droit, qu’il n’avait rien de mal. Elle hocha la tête pour acquiescer quand il prit la direction de la salle de bain. Blanche-neige attendit quelques secondes, juste pour être sûr qu’il n’oubliait rien et déposa les coupes sur le coffre, laissa ses chaussures près de l’entrée et se changea en vitesse. Ah bon sang, c’était tellement le genre de pantalon les plus confortable de l’univers. Elle avait laissé son veston sur le lit et sa robe…heu…par terre. En boule sur ses chaussures. C’était étrange, mais c’était confortable. Oh! La porte. Elle cogna pour signifier que tout allait bien de son côté. Elle sourit un brin pour elle-même avant de retourner à la fenêtre, comme hypnotisé par la lune qu’on voyait si bien et le terrain de Quidditch qu’on devinait facilement.

Pour Antho, lui disons qu’il se sentait un peu comme un imbécile, mais il tentait bien de se reprendre convenablement. Donc il avait tenté d’aligner des mots. Des mots qui allaient bien ensemble et qui pouvait réconforter la confiance de la Belle. Il y allait doucement pour ne pas dire n’importe quoi qui pourrait davantage la blesser…Ensuite elle parla. Oh, il n’avait rien fait? Elle non plus. Ils étaient donc quittes? Il voulut faire la blague, mais elle continuant en disant qu’elle avait peut-être trop aimé la danse…il ouvrit un peu les yeux et elle éclata de rire. D’accord sa nervosité était mignonne, il eut un petit rire et il secoua un peu la tête. Il soutint son regard, parce qu’il voyait qu’elle n’avait pas terminé, il attendit donc, patiemment. Il eut un bref sourire, beaucoup plus tendre quand elle en vint à la comparaison.

Anthony : Qui décide de ce qui est normal? Les situations ne sont pas les mêmes et nous ne sommes pas les mêmes personnes. Enfin…je suis content que tu aies aimé la danse, ne pense pas trop Ama’…sauf si je fais le con, ça tu peux me le dire…et tu peux même me frapper si tu veux. Mais tout va bien, les autres ne sont…pas importants.

Oui oui et c’était pas pour dire qu’il s’en foutait. Mais là, c’était eux le plus important et ça le restera toujours. Il se sentait maladroit encore dans ses paroles, mais il essayait vraiment fort et ça se voyait.

Anthony : Je ne veux pas avoir l’air…de te brusquer ou quoi que ce soit. C’est pour ça que je me suis reculé après…la prochaine fois j’aurais qu’à…attendre que ça vienne de toi…si tu veux.

C’était trop? Trop de mots? Trop de sous-entendus? On dirait que leur relation se définissait un peu plus dans ce genre de conversation, mais il n’en ferait pas part à Amandine, de peur qu’elle parte en courant. Donc il attendit.

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Message par Marie_Eve_1989 Jeu 18 Fév - 11:39

Donc, voilà, il avait été dans sa salle de bain pour se changer. Lorsqu'il entra dans la salle, il ira se poster devant le miroir, au-dessus du lavabo. Il regardera son reflet. Prenant une bonne inspiration. Ouf! Il respira un bon coup, tout en s'observant. Stressé, un peu, le Sincère? Peut-être! Il n'avait pas des filles à tous les jours dans sa chambre. Enfin, des filles comme Mélina. Il se sentait comme sur un fil, où il pouvait tomber n'importe quand. Cela faisait longtemps aussi qu'il n'avait pas agi ainsi pour une Demoiselle. Cela dura un bon 30 secondes. Puis, il lâcha sa glace pour se changer. Commençant par sa chemise. Un bouton par bouton. Puis il retira ses chaussures, puis sa ceinture. Pour terminer par son pantalon. Il resta un moment en boxer. Profitant un peu de se repos de tissu sur sa chair. Ensuite, le Professeur de balais enfilera son pantalon aladdin et son t-shirt, restant nu pied. Il se saisit d'une main de ses vêtements et de l'autre de ses chaussures. C'était à ce moment qu'elle cogna à la porte. Ce qui le fit sursauter légèrement, mais avec un sourire. Elle était prête. 

Il sortira, tan bien que mal, avec ses mains pleins. Il la cherchera du regard, puis la trouvera, dans ses vêtements, près de la fenêtre. Son sourire s'agrandira à cette vue. C'est que ses vêtements lui allait quand même bien. Ensuite, il ira vers les portes encastrées, en ouvrir une et mettre ses habits et chaussures, là. Il ira chercher son veston et fera de même, pour terminer par refermer la porte. Il s'occupera de cela demain matin. 

Peter:"Je n'aurais jamais cru que mes vêtements te feraient aussi bien... Prête pour une coupe?"

Il le pensait, donc il devait le dire. C'était comme cela, c'était plus fort que lui. Il avait ce mécanisme d'honnête, qu'il avait toujours eu. Un petit rire vint à ses lèvres, il ira remplir les deux coupes de champagnes, se saisissant d'elles par la suite. Sans toutefois lâché du regard Blanche-Neige. C'est qu'il la trouvait mignonne, comme cela, devant sa fenêtre. Puis, il s'approchera d'elle, lui tendant une coupe, buvant une gorgée de la sienne. L'ambiance avait changé un peu. Il faisait plus chaud. Il était à l'abri des regards. Il était dans un lieu connu. Et avec elle. Il ne dira rien pour l'instant, attendant qu'elle parle, qu'elle réponde en premier. Il ne voulait pas la forcer à parler, il ne voulait pas la brusquer. Ses perles gardant son fixe sur la demoiselle. Il attendait, une coupe tendue. Rien de son stress passager dans la salle de bain était visible, non, il contrôlait la situation, enfin, il aimait le penser. 

Puis, de l'autre côté du rideau. Elle avait dit beaucoup de choses la Amandine. Oui, beaucoup de choses qui voulaient en dire beaucoup. Elle s'accrocha à son regard. Mon dieu qu'il avait des beaux yeux, ce Anthony. C'était la première fois qu'elle le remarquait vraiment, car c'était la première fois qu'ils étaient confrontés à cette situation aussi. Qu'ils n'étaient pas juste des amis. Qu'il avait plus... Oui, beaucoup plus plus. Son regard avait quelque chose de rassurant. Comme son contact charnel. Puis il parla. De normalité.Des autres. Qu'ils n'étaient pas les autres. Qu'il fallait qu'elle ne pense pas trop. Oui! C'était cela, essayer de ne pas trop penser. Ce qui était dans ce cas, son plus grand défi de vie. Mais, elle se le devait. Elle lui devait cela. Il n'était pas maladroit. Ou enfin, s'il l'était, elle le trouvait mignon sans sa maladresse. Ce qui était positif. Le Guerrier ne voulait pas la brusquer. Puis, il lui parla de la prochaine fois. La prochaine fois... Cela faisait beaucoup de sous-entendus. Mais c'était vrai, il avançait comme cela. Car ils N'étaient pas encore capable de se parler. De dires les vrais mots sur les vraies choses. Il lui dit que ca viendrait d'elle. Il donnait son pouvoir à l'Aide-Infirmière. Et à ses mots, un léger sourire vint ourler ses lèvres. Ses minimes toujours accrochées à son ventre. Oui, dans ce genre de situation elle devait tenir quelque chose. Une tasse, ses ados... Quelque chose quoi. 

Amandine:"Tu as raison..."

Raison sur quoi? Sur tout ce qu'il venait de dire. Que les autres n'étaient pas importants. Qu'ils devaient s'occuper d'eux avant de comparer. Et que la prochaine fois, cela viendrait d'elle. En parlant de choses qui viennent d'elle. Elle avancera d'un pas, ne quittant pas ses yeux. Non, là en ce moment, elle els trouvait trop beau. Ses mains délaisseront enfin son abdomen, pour que l'une d'entre elles vienne se saisir d'une main à Anthony. Elle entrelacera ses doigt aux siens. Trois fois, en si peu de temps. Elle progressait. En silence. Ce geste voulait dire: D'accord, on s'occupera de nous avant les autres. Qu'elle essayera de ne pas partir en courant. Enfin, pas toujours. Mon dieu que ce silence devenait long.... Puis elle ria. De gêne détournant son minois vers le bas. Elle ne tolérait pas les silences. Surtout trop intense comme cela. Et là, elle n'arrêtera pas de rire, gardant pourtant sa main dans la sienne.

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Message par Vanoute Jeu 18 Fév - 19:02

Mélina avait passé ses mains sous ses yeux en espérant que son maquillage ne lui donnait pas trop l’air d’un raton laveur. Elle prit une bonne inspiration après avoir cogné à la porte de la salle de bain. Si lui n’avait pas l’habitude d’avoir des filles dans sa chambre, elle n’avait pas l’habitude du tout d’entrer dans la chambre d’un garçon. Excepté peut-être Antho’ pour dire que c’était un vrai bordel. Mais Antho’, c’est comme un frère. Pas PA. C’est peut-être pour ça qu’elle restait près de la fenêtre. Regarder dehors faisait du bien, ça détendait, le ciel était magnifique. Elle eut comme un flash de ce que Tristan lui avait dit durant leur dispute. Il miserait sur PA. Sa mâchoire se crispa un bref moment, son regard s’abaissant brièvement pour regarde de nouveau à l’extérieur puis PA revint dans la chambre, ses iris se tournèrent donc vers lui, un bref sourire ornant ses lèvres. Elle le suivit des yeux, le regardant s’activer dans sa chambre.

Mélina : Tu as vraiment une vue magnifique.

Puis il commenta comment ses vêtements lui faisaient. Elle regarda un moment le grand pantalon et le t-shirt, naturellement un brin trop grand pour elle. Mouais, pas très sexy tout ça, mais elle était terriblement bien. Elle redressa ses yeux vers lui, repoussant une de ses mèches de cheveux derrière son oreille.

Mélina : C’est gentil. Ce sont sans doute les pantalons les plus confortables de l’univers. Et oui, je suis prête.

Plus que prête même. L’alcool allait engourdir ses pensées qui se réveillaient. En réalité, ça allait peut-être la faire plus parler…qui sait. Oh et oui, Mélina n’a pas le sens des grandeurs. De l’univers? Oui en ce moment, ce l’était. Plus que sa robe. Mélina tourna ensuite ses yeux vers l’extérieur, elle avait envie de lui parler, mais ça la gênait un peu. Quelque part, elle avait envie de lui expliquer, en gros, ce qui s’était passé. Le pourquoi du comment pour faire court. Elle n’avait pas l’impression qu’il cherchait absolument à savoir et c’était peut-être ça qui incitait la jeune enseignante à vouloir parler. Oui, c’était contradictoire, mais quelqu’un qui cherche trop à savoir, parfois, c’est un peu agaçant, voir inquiétant. Lui allait l’écouter pour elle, pas pour faire des ragots par la suite.

Quand il arriva près d’elle, elle se retourna vers lui pour prendre la coupe avec un petit sourire. Le remerciant de se sourire. Elle prit une longue gorgée, soutenant son regard un moment avant de regarder à l’extérieur. Elle aimait les bulles l’enseignante, ce qui rendait le breuvage encore plus facile à boire en ce moment.

Mélina : Hm… elle regarda un peu vers le bas. Elle sembla chercher comment commencer à parler. Tu viens officiellement de voir comment notre…groupe peut être compliqué.

Wow. Belle entrée en matière Mel. Terriblement maladroit. Elle prit une autre bonne gorgée, en fait, une coupe à champagne, à la grandeur que ça l’a…elle venait de terminer direct sa coupe. Elle bougea alors pour aller la remplir de nouveau, attendant qu’il dise quelque chose.

Revenons plus bas, dehors, dans le chapiteau. Anthony tentait d’arranger les choses. C’était important ce qu’elle avait dit. Ils venaient de passer une étape. Encore là, aucun des deux n’avaient verbalisés se fait, mais ça se sentait…ils étaient maintenant un peu plus que des amis. Le sourire qu’elle fit quand il mentionna qu’il attendrait que ça vienne d’elle pour se reculer de la danse, le fit sourire à son tour. Ouf…c’était terriblement rassurant pour notre Professeur de défense. Ça lui faisait du bien et surtout, ça laissait de l’espoir pour une prochaine fois. Leur soirée n’était pas gâchée…enfin, pour eux, pour leur relation. Il a raison? Il ne savait pas il avait raison sur quoi, mais il en était bien content. Il voulut parler, mais elle avança. Woh… le cœur d’Antho’ manqua un battement, vraiment. Elle le regardait si intensément…. Elle était si belle. Elle prit sa main, pas comme on prend la main d’un enfant, non…il la serra doucement, délicatement, comme s’il avait peur de la briser. Lui aussi se perdit un moment dans ses yeux, son visage, ses lèvres….et elle éclata de rire. Il continua de regarder…là son fond de tête et comme il était ce qu’il était, il éclata de rire à sa suite. Non, cette fille était faite pour lui. Il n’en doutait absolument pas. Il secoua un peu la tête, il n’était pas pressé tous les deux. Il trouvait la situation adorable l’air de rien. Il réagit donc d’instinct, il passa son autre bras autour de ses épaules pour la serrer un bref instant contre lui, laissant un baiser dans ses cheveux…avant de réaliser ce qu’il venait de faire, ça c’était fait si naturellement, il la trouvait tellement mignonne. Sayait tu étais un crétin, tu venais peut-être de détruire le fragile équilibre que tu venais d’installer. Puis il la relâcha, reprenant la position d’avant ce mouvement en lançant, comme si de rien n’était parce qu’il ne savait absolument pas comment réagir.

Anthony : Alors, tu veux rester encore un peu, prendre une autre coupe de champagne, rire de McCarthy qui tente de trouver quelqu’un pour danser avec elle? Ou tu préfères rentrer pour retirer les talons…sérieux, les filles, vous portez des trucs qui vous torturent.

Oui, il avait parlé beaucoup pour…dédramatiser un brin ce qu’il venait de faire, si dédramatisation il devait avoir!

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Message par Marie_Eve_1989 Jeu 18 Fév - 22:29

C'est vrai que le Professeur de balais avait une merveilleuse vue. Cela allait tellement avec sa personnalité. Comme si le directeur avait fait en sorte qu'il soit dans cette chambre. Même s'il adorait son poste comme enseignant, le Quidditch lui manquait, continuellement. Faire quelques parties avec Anthony lui procurait un bien fou. Voir le terrain de jeu le faisait rêver. Donc, oui, il avait une magnifique vue. Même si sa chambre était magnifique, c'était l'extérieur qui aimait le plus de ses appartements. Il ne regrettait pas ses choix de vie, mais sa vue venait agrémenter ce qui lui manquait. 

Puis, Pa avait sorti de la salle de bain. Il avait rangé ses choses. Il la complimenta sur ses vêtements, qui étaient les siens. Oui, ils étaient un peu trop grands pour elle, mais étrangement, il trouvait cela vraiment beau. C'est sûr, que pour lui, le fait qu'elle, elle y soit dedans, augmentait les chances qu'il trouve cela beau. Le Sincère était tellement d'accord avec ce qu'elle venait de dire. C'était sans doute les pantalons les plus confortables sur cette terre. Il eut un sourire attendri à ses mots. De l'univers? Oui! De l'univers, c'était sans doute pour cela qu'il en avait de toutes les sortes, de tous les tissus, pour ses moments à lui. Il s'était servi une coupe de champagne et il avait fait de même pour Blanche-Neige. Il lui avait tendu. Elle l'avait pris, car elle était prête. Puis, Peter attendit, qu'elle parle en premier, car comme dit avant, il ne voulait pas la brusquer. Puis elle parla. Oui, il avait bien vu comment le groupe se comportait. Compliqué? Chaque groupe d'amis avait ses complications. Il le savait. Puis, elle termina sa coupe. Il allait lui en proposer d'autre, mais elle s'activa pour aller en prendre. Il terminera la sienne, s'approchant à nouveau d'elle, pour qu'elle lui en serve de nouveau. Une fois que cela sera fait, il en prendra une nouvelle gorgée. Il pensait à ce qu'il voulait lui dire. Suite à sa gorgée, il ira s'asseoir sur son lit, écartant un peu les jambes, appuyant ses avant-bras sur ses cuisses, tenant sa coupe à deux mains. Il posera son regard à l'extérieur, l'air songeur. 

Peter:" Tu sais... Ça ne me dérange pas que vous soyez compliqué. Je trouve que vous avez une belle amitié. Ce qui me dérange... C'est le fait que toi, là-dedans, il y a une relation compliquée qui te fasse mal, au point que tu ne sois plus capable de la supporter..."

Lorsqu'il dit ses quelques phrases, il avait tourné son minois vers le Professeur de potions. Plongeant son regard dans le sien. Il était sincère. C'était plus fort que lui, il devait lui dire, ce qu'il pensait. Lorsqu'il parla de relation, oui, il parlait de Tristan et de Mélina. Il ne savait pas qu'elle était leur relation. Si elle était seulement de l'amitié, ou s'il y avait plus. Non, il ignorait tout de cela, mais il était capable de voir que ce qu'il disait avait quand même un côté véridique. Un moment passa, puis, il prit une bonne inspiration, avant de continuer. 

Peter:" Je ne te connais pas Mélina, je ne le connais pas.... Je te dis simplement ce que j'ai vu et si tu voulais, tu peux m'en parler... Cela me ferait un plaisir de t'écouter. "

Il avait redressé son torse, pour ensuite terminer d'un trait sa coupe. Vous buvez beaucoup trop vite. Peu importe. Il aura murmuré ses derniers mots, sans toutefois la lâcher du regard. Son regard ajoutait à sa sincérité. Puis, Peter posera sa paume sur le matelas sua ses côtés, pour l'inviter à s'asseoir, à parler, à être à ses côtés, en silence, si elle le voulait. Juste s'asseoir à ses côtés... 

Aux côtés d'Amandine et Anthony, Oh mon dieu, qu'il devait avoir des rumeurs qui se créaient. Car, en l'espace d'une danse et quelques minutes, il s'en passa des choses. Oui, ils avaient passé une nouvelle étape. Non, ils ne seront plus seulement que des amis. Cela en était sûr. Ils étaient trop proche dans leur non-dits, maintenant. Il avait eu trop de contacts physiques. Trop de paroles pour que juste l'amitié revienne gagnante de cette soirée. Même s'ils étaient silencieux, même si beaucoup de choses n'avaient pas été dites dans leurs mots, leur regard parlait. Lorsqu'elle lui prit sa main, lorsque leur regard parla, cela en était trop pour elle et elle se mit à rire. Lui aussi fit de même. PUIS! ... Une bras vint autour de ses épaules, pour serrer son petit corps frêle contre le torse du Guerrier. Puis, un baiser. Un contact de lèvres. Sur sa tête. Qui aura pour conséquence l'arrêt de sa respiration. Il avait agi d'instinct? Ses paupière étaient grandes ouvertes, l'instant de ce moment. Elle avait senti sa bouche contre sa tête. C'était beaucoup. Même si elle aimait, c'était beaucoup. Puis, peut-être qu'il le réalisa, mais il recula, gardant sa main dans la sienne. Puis il parla. Elle ne faisait que le regarder, un moment. Assimilant ses paroles. Il lui proposait des choix. Beaucoup de choix. Un léger sourire vint à sa bouche, continuant de le regarder. Elle murmura:

Amandine:" Tu sais... Si on a à se voir en étant plus que des amis... Va falloir qu'on s'habitue à ça .... Ok?"

Et là, elle changea du tout au tout, car ce qu'elle venait de dire était réel, sans de sous-entendus. Non, elle venait de clarifier bien des choses la Demoiselle, elle voulait le rassure sur ce qu'il venait de faire, qu'elle avait aimer, mais qu'elle devait travailler fort. C'était gros, trop gros, c'est pour cela qu'elle voulait agir comme si rien n'était. Elle lâchera sa main, reprenant son magnifique sourire théâtrale. 

Amandine: "J'aurais envie de champagne, beaucoup de champagne... Et de pizza.... Et... d'aller rire de 'McCarthy!"

Elle lui fit un clin d'oeil, se dirigeant déjà vers le bar à champagne. Les talons, cela allait. Elle aimait trop cela pour les enlever.

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Message par Vanoute Jeu 18 Fév - 23:43

Avoir une vue pareil, Mélina aurait du mal à se lever du lit. Elle était une rêveuse à temps perdu et avoir une vue sur le ciel comme ça…elle se disait qu’il devait terriblement bien dormir les soirs de pluie. Le son des gouttes sur les vitres devait être terriblement apaisant. Oui, elle en était certaine. Enfin, sa contemplation se termina quand PA sortit de la salle de bain et qu’il lui offrit du champagne. Et oui, elle avait été un brin rapide en la buvant. Comme les deux autres plus tôt. Lui aussi on dirait parce qu’il tendit sa coupe, qu’elle remplit dans un petit sourire. Elle avait parlé oui, elle avait voulu initier la conversation. Elle le regarda quand il alla s’asseoir, comme s’il cherchait quoi dire et comment le dire. Mélina tenait maintenant sa coupe à deux mains, parce que c’était un sujet délicat, un sujet fragile. Mais…il fallait qu’elle lui dise, elle savait peut-être que ça allait tellement sortir tout le méchant. Il commenta ce qu’elle venait de dire…une belle amitié? Oui, en somme, ils avaient une très belle amitié. Principalement les trois. Antho, Ama’ et elle. Elle prit une première gorgée de sa coupe. Puis quand il parla de sa douleur, elle termina de nouveau sa coupe, des larmes lui brûlant un peu les yeux, sans couler. Elle avait eu un air qui voulait dire ‘’si tu savais’’. Elle força un sourire et se resservit du champagne. Ouf, quelle belle gamme d’émotions qu’elle venait de passer en quelques secondes. Blanche-Neige avait quand même soutenue son regard. Malgré tout. Il ne la connaissait pas ? Pourtant, elle avait l’impression qu’ils se connaissaient depuis si longtemps, drôle non…mais il avait raison. Elle hocha positivement la tête. Buvant son champagne. Elle buvait vite, ça aidait à vouloir se confier. Mélina regarda la place qu’il lui proposait…elle s’avança, hésita, alla prendre la bouteille pour qu’elle soit à porter et elle alla finalement s’asseoir près de lui, en indien, appuyant la bouteille entre ses jambes pour ne pas qu’elle se renverse puis elle le regarda, ses yeux brillants.

Et elle se lança. Elle n’avait jamais raconté toute l’histoire à qui que ce soit, ça lui semblait donc étrange de commencer par le commencement. Elle lui parla de sa septième année à Poudlard. Comment Tristan l’avait abordé dans la bibliothèque, avec le bout de papier, comment elle avait résisté jusqu’à la dernière minute parce qu’il avait réputation d’être un coureur de jupons et qu’elle n’était pas le genre de filles à se laisser si facilement séduire. D’ailleurs, elle mentionna bien qu’elle n’avait jamais eu de copain sérieux non plus. Le bal, les avances, ses réticences. Oui, c’était une histoire qui impliquait de l’amour. Ça avait été clair depuis le début. Elle lui expliqua comment elle avait fini par tomber amoureuse de lui, elle n’avait jamais dit ça à personne. Jamais, elle n’avait pas eu besoin de le dire à ses amis, ils le voyaient. Bien sûr, elle n’entrait pas dans les détails, elle donnait les grandes lignes. Elle parla de sa dernière rencontre avec Tristan, avant la guerre, comment il l’avait rejeté, en disant qu’il avait des choses qui l’empêchaient et qu’elle n’avait jamais su ce que c’était. Elle ne parlait jamais en ‘’mal’’ de lui, elle ne faisait…que narrer leur histoire, tout simplement. Elle parla des disputes d’avant, comment Tristan réagissait, comment elle, elle réagissait. Plus elle en parlait et plus elle réalisait à quel point c’était malsain. Que ce n’était pas bien comme relation. Et elle le regardait de moins en moins, comme si elle…avait honte? Oui peut-être. Elle prenait des pauses seulement pour boire, remplir son verre et aussi celui de PA s’il le fallait. Puis elle parla un peu de la guerre, très peu, elle parlait de son inquiétude pour ses amis, pour Tristan, qu’elle n’avait pas eu de nouvel et elle passa tout de suite à la rentrée scolaire.

Comment leur première rencontre avait été intense et qu’il l’avait encore rejeté. Qu’elle s’était faite de faux espoirs, comme une idiote. Et oui, elle l’avait dit comme ça. Quelques larmes coulaient par moment sur ses joues, mais elle les essuyait rapidement. Puis elle parla de la dispute, de comment ça avait fini, qu’elle l’avait traité d’égoïste. Qu’elle sentait que Tristan ne lui disait pas tout et que ça l’énervait. Elle ne parla pas du fait qu’il avait parlé de lui brièvement. Ça non. Mélina avait expliqué brièvement comment Tristan était quand il était fâché…comment elle avait tenté de lui tenir tête quand même, elle avait toujours eu tendance à se culpabiliser dans cette relation…Elle ne savait pas combien de temps avait passé, mais sans doute…pas mal.

Mélina : Et…vient ensuite le bal. Là…là tu as tout vu. Elle s’essuya les yeux en évitant encore de le regarder, ils avaient bu tout le champagne. Elle se sentait encore plus honteuse avec l’alcool dans le sang. J’ai agi comme une idiote, tu sais…en te parlant, je me rends compte comment…c’est tout simplement malsain…

Et elle s’arrêta, sensible à ce qu’elle venait de raconter, elle ferma les yeux, un coude sur un genou et le visage enfoui dans sa main.

Pour Antho et Amandine, on peut dire que tout allait bien quand même. Tout allait mieux. Enfin, il agit avec son cœur en plantant un baiser sur sa tête. Il recula, pas qu’il regrettait, mais il avait tellement peur d’en faire trop le pauvre qu’il avait reculé. OH un sourire. Son cœur pouvait battre à une vitesse normale, il ne lui avait pas fait peur…mais là, là il fut plus que surpris quand elle parla. Qu’elle mit des mots sur leur relation, sur eux. Plus…que…des…amis…tu sais, Amandine, tu venais de faire d’Antho’, l’homme le plus heureux du monde ce soir. Mais il ne voulut pas que ça paresse trop, sauf que bon, son sourire, son merveilleux sourire montrait sa joie. Il serra doucement sa main.

Anthony : Ok.

Parce que bon, s’il parlait plus, il allait s’emballer. Il était content que ça vienne d’elle, oh grand Dieu qu’il était content. Puis elle répondit à son choix, il était heureux, aux anges même! Il sourit avant de rire aux paroles de son…NON c’était plus que son amie maintenant. Sa Amandine. Bref, champagne. Il prit deux coupes en lui en tendant une.

Anthony : Champagne, on est servi. McCarthy, si tu te tournes un peu vers…la droite, je croire, tu vas la voir et la pizza…je suis prêt à aller cambrioler la cuisine si tu en veux. Peut-être en rentrant…l’alcool me rend affamé

Oh oui, il avait déjà été 1000 fois de la bouffe pour les filles dans les cuisines durant leurs années à Poudlard, il pourrait encore plus facilement recommencer maintenant qu’il était prof…non, mais ce gars prof, c’est juste malsain !

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Message par Marie_Eve_1989 Ven 19 Fév - 8:50

Mais quelle soirée. Non, mais si cela s'enlignait comme cela au début de la soirée, aucun des personnages ne devait se douter de leur dénouement. C'était tellement peu probable. Oui, très peux probable. Surtout dans le cas de Mélina et Peter. De purs inconnus qui se connaissaient sans doute beaucoup plus, ou il avait cette impression, plus que deux parfaits amis. C'est qu'il avait une chimie entre les deux professeurs. Une chimie inexplicable, qui faisait en sorte que l'un était là pour l'autre, car il en avait de besoin. Même s'il ignorait tout de cette histoire. Et quand je parle l'un pour l'autre. Je parle de Pa pour Mélina. De toute façon, Peter avait-il besoin de Blanche-Neige, là, dans l'immédiat? Peut-être, mais peut-être qu'en donnant son soutient, il répondait à ce besoin. Il avait besoin d'elle en donnant sa présence, pour elle. Un deux en un. 

Puis, elle vint à ses côtés, avec la bouteille. Un sourire revint à ses lèvres. Il trouvait cela mignon. Non, pas ivrogne, mais mignon, car oui, peut-être qu'au final, ils en avaient de besoin. Pour parler, pour être à l'aise ou juste se confier. Il ne trouvait cela absolument pas mal. Il termina sa coupe lui aussi, rapidement, car il se doutait qu'elle allait parler. Elle, elle en avait de besoin pour parler. Lui, il en avait besoin pour écouter. Puis, elle se lança enfin. Cela remontait en septième année. Rapidement, il fit le calcul dans sa tête. Quatre à cinq que cette histoire traînait. Quand même. Il écoutait. Tous ses mots. Sans jamais l'interrompe, cela n'aurait pas été respectueux de sa part. Son sourire s'était effacé, il n'avait pas d'affaire-là de toute façon. Il hocha la tête de temps en temps, pour lui dire qu'il l'écoutait. Pour lui dire qu'il était là. Il savait qu'elle ne le bichait. Qu'elle racontait une histoire. Et il savait, que pour elle, c'était une histoire d'amour. Pas une histoire sans importance. Il ne pouvait pas faire autrement de croire cela, car tout d'elle émanait de la pureté. Il le savait. Peter nota également le fait qu'elle n'avait jamais eu de copain sérieux. Aller-savoir pourquoi, il nota ce fait. Puis, elle parla de la Guerre, de ses inquiétudes, face à ses amis et face à l'Homme muet. Il eut un soupire. Pas d'exagération, pas parce qu'il était fâché, parce que la Guerre méritait ce soupire, voilà tout. Il l'avait vécu aussi, cette Guerre. Ce qui le piquait un peu, c'était la fin de cette histoire. Il était méchant... Oui, il pouvait en conclure cela. Le Blondinet n'était pas un gentlemen, dans sa façon d'agir avec Mélina. Ce qui le piquait, c'est le fait qu'elle, elle se culpabilise dans cette histoire. Sa mâchoire se serra un moment, retenant ce qu'il pensait, car il n'avait pas le droit de dire quoi ce soit contre Tristan, non, cela, il ne se le permettait pas. Il perdit son regard peu à peu. Lui, il ne faisait que cela la regarder et boire. Il accepta toutes les coupes qu'elle lui servait, insistant sur son regard, comme pour la remercier en silence. 

Puis, la bouteille se finit, ainsi que son histoire.. Il avait posé sa coupe sur le coffre. Sans ne lâcher son regard, puis il était revenu à sa posture. Oui, il avait vu le bal, il avait vu ce qu'il s'était passé. L'alcool relâcha sa manière d'être. Il avait appuyé ses deux paumes sur le matelas, son torse légèrement incliné vers l'arrière. Une de ses paume se trouvait derrière le dos à Mélina, donc oui, ils étaient quand même proche. Puis, il l'observa, dans sa position, il l'observa en tant que personne et non en tant que fille saoule qui raconta une histoire. Il la trouvait belle. Il se surprit même à penser que malgré tout ce qu'elle venait de dire, il avait quand même envie de l'embrasser, là à ce moment. Mais, l'alcool lui permit que de le penser, non, il n'osera pas lui dire. Puis, il se redressa, gardant quand même son bras dans son dos, celui-ci, dans le mouvement, venant s'appuyer contre ce dernier. De son autre main libre, il ira cueillir son visage, pour qu'elle le regarde. Oui, il allait parler, il le fallait, après tout ce que le Professeur de potions venait de dire, il n pouvait pas la laisser là sans rien dire. 

Peter:"C'est peut-être malsain comme situation... Mais tu ne peux pas regretter de l'avoir vécu, si c'est ça que tu voulais Mel'. (Il se permit le Mel'.) Il faut juste que tu choisisses ce qui te ferait plaisir, en ce moment... D'accord..."

Il eut un léger sourire à ses lèvres, il lui avait chuchoté le tout. Puis, il lâcha le menton. L'alcool avait été bu trop vite, trop rapidement. Il en sentait les effets. Un effet de vague, quand on se sent flotter, qu'on est bien, puis, ses perles iront se poser à l'extérieur, pensant un peu à tout ce qu'elle venait de dire, à tout ce qu'il venait de se passer, restant à ses côtés, le bras dans son dos. 

Il avait seulement répondit ok? Mignon Anthony. Elle se doutait que s'il disait plus, cela allait sortit, d'un coup, sans pouvoir de retour. Donc, le ok était de mise. Il était un peu comme elle. Elle, elle murmurait, car si elle parlait d'un ton normal, tout sortait.... Mais vraiment fort. Dans le fond, elle criait. Donc, fallait peut-être mieux, qu'à ce stade, elle chuchote et lui se tienne au Ok. Elle savait de toute façon qu'il était d'accord avec ce qu'elle venait de dire, puisque son sourire répondait beaucoup plus que son simple Ok. Oui, elle le savait. De toute façon, elle le connaissait son Guerrier. Mais, ils se délaissèrent quand même, car il avait eu beaucoup de paroles et de gestes et que bon, Rome ne s'était pas construite en une seule journée. Puis, il ira chercher les coupes. Il en tendit une, qu'elle prit. Boucle-d'Or ira tremper ses lèvres, pour ensuite prendre une grande gorgée. C'est qu'elle avait quelque chose à fêter. Une amitié changée en quelque chose d plus grand. Quoi? Elle ignorait, mais elle savait également que ce n'était plus seulement de l'amitié. Puis, le Professeur de défenses parla, avec ce ton. Ce ton beaucoup trop heureux. Son sourire s'accentua, dans la timidité et dans le bonheur. Un mélange d'émotions. Nouvelle gorgée. Elle hocha la tête pour acquiescer le fait du champagne. Elle portera un regard en biais vers McCarthy, éclatant de rire, simplement, repensant au fait qu'elle avait touché aux fesses d'Anthony, un peu plus tôt. Suite à cela, elle reviendra à Anthony, replongeant ses perles dans les siennes. Puis, il parla de pizza. D'aller lui en cambrioler. Il était adorable. 

Amandine:"Tu ferais cela pour moi? Encore... Comme dans le bon vieux temps? Je suis d'Accord pour le retour... (Puis, elle lui murmura.) Là, maintenant, j'ai envie de rhum et de pizza. Mais ensemble. Je suis prête à cambrioler le rhum... Et on y va..."

Elle eut un sourire espiègle, le quittant avec son mode: JE SUIS CHARMANTE, CE SOIR!. Elle s'approchera donc du bar, où un charmant bénévole y était. Elle eut des beaux sourires, un regard aguicher, mais pas trop. Juste ce qu'il fallait. Et un rire, un rire qui faisait en sorte que la personne se sente en sécurité avec elle. Et par miracle, au bout de 5 minutes. Elle revint avec la bouteille de rhum et une coupe, essayant de dissimuler, la bouteille. 

Amandine:"Je crois qu'il va falloir que tu la prennes sous ton veston. Puis.... ALLER VIENS, ON VA MANGER DE LA PIZZA...... Ho, en passant, je lui ai dit que mon copain devait se remettre de sa danse avec McCarthy et surtout tes fesses, oui tes fesses devaient s'en remettre."

Elle eut un nouveau rire. Tellement adorable. Tendant la bouteille à Anthony, une fois qu'il la prit, elle se dirigera vers la sortie, en mode: JE VEUX DE LA PIZZA, saluant au passage quelques étudiants et autres membres du personnels. Dans ses mots, elle voulait aussi qu'il sache qu'elle n'avait pas dragué pour avoir la bouteille, qu'elle avait seulement parler de lui... Que de lui.

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Message par Vanoute Ven 19 Fév - 18:30

Au final le bal n’avait été qu’un prétexte pour créer des liens. Mel’ avait trouvé un confident formidable, la personne la plus gentille du monde et Antho’ venait de changer de statut. Mais on en viendra au beau brun plus tard. Mélina avait…beaucoup parlée. Parlé de choses qu’elle ne parlait presque jamais. Au final, le champagne s’était seulement pour s’hydrater un peu la gorge dans son récit…et peut-être aussi pour l’aider à continuer. Ce n’était pas une histoire simple, mais la verbaliser lui semblait encore plus étrange. Elle avait vu au départ, dans le regard de PA, qu’il écoutait vraiment. Vraiment beaucoup même. Elle avait de plus en plus de mal de le regarder plus son récit avançait, c’était difficile pour elle et en mots, on dirait que ça lui semblait encore plus évident qu’elle avait agi comme une idiote. C’était elle qu’elle analysait en racontant tout ça. Ce n’était pas Tristan, ce n’était pas ses émotions, c’était sa façon à elle de voir les choses, de tenter de se comprendre. Tristan avait été une attache à sa vie naïve à Poudlard. Et Dieu sait que la guerre avait détruit toute trace de naïveté pour certain…

À la fin, elle se sentait un peu misérable et saoule. Mouais, quelle mélange terrible. Elle tenait sa coupe à deux mains pour cacher le tremblement de son corps. Étrangement, elle avait comme froid, parce qu’elle venait de lâcher tellement un gros morceau sur son cœur, qu’elle se sentait épuisée…ou c’était simplement l’alcool. La proximité de PA lui faisait du bien, mais une étrange peur venait de naître en elle. Elle devait avoir l’air pathétique maintenant, même si on pouvait se douter que jamais le jeune homme ne penserait une chose pareille. Le bras de Peter qui vint contre son dos lui fit beaucoup de bien, mais encore une fois, elle n’osait pas le regarder. Jusqu’à ce qu’il redresse son visage vers lui, elle avait du mal, ça se voyait dans ses yeux vitreux. Elle avait honte. Littéralement. Elle l’écouta cependant, en le regardant. Ce qui lui ferait…plaisir ? Qu’elle choisisse? Là, en ce moment, elle aimerait dormir 100 ans. À la belle aux bois dormants.

Mélina : Je ne regrette pas. Je me sens tout simplement pathétique. On dirait que je me suis attachée à un souvenir et que la réalité m’a rentrée dedans comme un ouragan…

Elle soupira et son dos sembla s’appuyer un peu contre le bras de Peter et elle ne fit que dire ce qu’elle avait pensé plus tôt, suivant son regard pour regarder le ciel. C’était une si belle vue…

Mélina : J’aimerais dormir une éternité…me réveiller et ne plus avoir l’impression que mon cerveau est deux fois plus gros que ma tête. Arrêter d’avoir peur qu’on pense du mal de moi…je… Cette histoire ne me fait pas un bel éloge…

Subtilement, elle parlait de lui en ce moment. Parce que oui, ça lui faisait peur, cette histoire ne l’embellissait pas et en ce moment, avec l’alcool, c’était important pour elle qu’elle n’ait pas l’air d’une poule sans tête. Bon, l’image est mauvaise, mais c’était l’alcool et Mel.

Oui, Antho’ était mignon…mais souvent sans s’en rendre compte. Lui aussi prit une bonne gorgée, il n’avait pas peur que l’alcool ait des effets néfastes sur lui ce soir, il était trop bien, il était trop heureux pour que son cerveau gagne. Elle parla du bon vieux ton, son sourire sembla un peu malicieux, un peu en coin.

Anthony : Je suis encore très doué pour me faufiler dans la cuisine! C’est comme faire de la bicyclette, ça ne s’oublie pas. Mais vas-y, je t’attends.

Oh oui, du rhum. Tu entrais plus dans la branche d’Anthony là, Amandine! Il la suivit des yeux, un bref sourire à la pointe des lèvres en l’observant, observant le jeune bénévole. Il planta ses mains dans ses poches en gardant son sourire. En mode ‘’ ouais, ça, c’est ma plus qu’amie maintenant.’’ Oui, C’était un grand gamin. Quand elle revint vers lui, il extirpa rapidement sa main pour prendre la bouteille et la cacher dans son veston en mode pas trop subtile. Il eut un éclat de rire à ses mots qui se termina en moue de dégout.

Anthony : ne parlons pas de ça, une bouteille ne serait clairement pas assez sinon. Allons, partons d’ici avant d’avoir l’air trop louches…

Lui aussi salua les gens. D’une main. En évitant soigneusement d’avoir l’air d’un gars qui sortait une bouteille de rhum. Bah, ils étaient majeurs et vaccinés hein! Il était content de ses précisions. Parler de lui, c’était adorable. Et…SON COPAIN OH BON SANG. Bon, respire. Tu as la mission Pizza à accomplir. Il avait encore ce regard rieur dans les yeux quand il prit les devant pour aller vers le château. Il n’avait pas grand monde, mais il allait quand même vite, le froid était présent. Une fois à l’intérieur, il lança un regard amusé à Amandine.

Anthony : Tu vas voir, les Elfes sont raides dingues quand ils nous voient entrer. Surtout que là je suis un enseignant, c’est Professeur Tremblay. Déjà qu’on était comme des Dieux ado’, maintenant ils commencent à connaître mes goûts. Je pourrais presque leur apprendre à faire de la poutine pour moi.

Oui, il s’amusait beaucoup le grand garçon! C’était pas beau à voir?

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Message par Marie_Eve_1989 Ven 19 Fév - 19:06

Peter sentit son dos contre son bras. Il ne dit rien, ne bougeant pas plus et calmant sa respiration. Oui, l'alcool avait de drôles d'effets sur les Hommes. Un contact devenait quelque chose de sensationnel. Comme s'il était décuplé. Oui, il sentait cela comme ça. Donc, il joua le garçon normal, sans réaction, mais cela tournait des a tête. N'oublions pas qu'il n'y pas si longtemps, il pensait à l'embrasser, donc hein! Il prit une bonne inspiration et continua à la regarder et surtout à l'écouter. Puis, puisqu'elle était quand même proche, il sentait un léger tremblement, qui s'en prend aux côtes, même si on prenait une coupe pour le dissimuler. Doucement, sa paume glissera du matelas pour venir à sa taille et l'approcher de lui. Posant ses yeux sur elle. 

Est-ce qu'il la trouvait pathétique. Non, au contraire? Pourquoi la trouverait-il pathétique. Des fois les sentiments sont plus forts que la raison, on ne peut pas les contrôler. Même s'il sa naïveté l'avait fait croire à de belles choses et que la réalité l'avait attrapé, cela se pouvait. Ce n'était pas de sa faute. Il le savait et elle devait le savoir. Tout de suite? Non, un jour, ce sera sa mission. Oui, lui faire voir qu'elle n'est pas pathétique, qu'elle ne devait pas toujours s'excuser de tout. Elle avait le droit de vivre, de bouger, de dire ce qu'elle voulait et surtout de ressentir ce qu'elle ressentait. Puis, elle lui parla de sommeil. Qu'elle voulait dormir. Qu'elle voulait arrêter d'avoir peur de ce que les autres pensaient d'elle... Puis, une idée... Lui vint en tête, il lui murmura... 

Peter:"Tu sais... Mélina, pour moi, en tout cas, je parle pour moi... Tu n'as pas à avoir peur de ce que je pense de toi. Je serai toujours honnête, c'est une promesse que je te fais. Je ne te vois pas pathétique, au contraire... Je t'assure, je vois une jolie jeune femme, forte qui avait de beaux sentiments... "

Il ne voulait pas détourner son regard, non, lui il ne regardait plus le ciel, il la regardait elle. Il voulait qu'elle sente que ce qu'il lui disait était sincère. L'alcool devait aider pour cet aveu. Mais il pensa chaque mot et il allait respecter la promesse qu'il venait de lui faire. Il était trop sincère dans la vie pour faire le contraire. Puis, le Professeur de balais se dit qu'il sera incapable de la laisser partir ce soir, mais qu'elle devait être exténuer. Il était dans un dilemme. Il retira sa main doucement de sa taille, en une caresse et se lèvera, pour se mettre devant elle. Plantant ses mains dans ses poches. Il prit une grande inspiration. Puis, se lança...

Peter:"Tu dois être fatiguée... Je vais te faire une proposition, mais rappèles-toi, c'est toi qui a le dernier mot... Je peux te laisser mon lit... Je dormirai au sol, mais on dirait que je suis incapable de te laisser partir..."

Une main sortira de sa poche, allant sur sa nuque. Oui, il était vraiment dans un dilemme, mais il était également très honnête. Encore une fois, il lui fit par de ses inquiétudes et ce à quoi il pensait... 

Elle était contente qu'ils soient de retour au Chateau, à l'abri des regards. Juste les deux, comme à chaque matin, lorsqu'ils vont courir. Elle avançait sans doute plus vite seule, avec lui. Il avait pris les devants, elle le suivi. Faisait étirer ses manches, un peu, comme pour chasser ses minimes qui étaient gelées. Oui, une autre bonne raison du pourquoi qu'elle était contente qu'ils soient entrés. Puis, elle eut un rire à ses dernières paroles. LEs elfes? Ils capotent? Des dieux... Ado? Elle n'arrêtait pas de rire, tout en le suivant. 

Amandine:"Tu n'exagères pas un peu ? Des dieux... AHAHAHAHA..."

Oui, elle s'amusait beaucoup, elle aussi. C'était plus naturel, c'était plus comme ils étaient à la base. Une fois arrivée à la cuisine, les Elfes les accueille effectivement comme s'ils étaient des Dieux. Avec des exclamations. Des Professeurs Tremblay de toute part. Des compliments pour la Demoiselle. Amandine leur sourit gentiment, lorsqu'un d'entre eux posa la question de la raison de leur visite. Elle demande une pizza, pepperoni et fromage. Puis, ils s'agitèrent et iront faire la pizza. Pendant l'attente, Boucle-d'Or lança quelques regards en biais à Anthony, amusée. Il revinrent quelques minutes plus tard. Elle se saisit de la pizza d'une main, prenant le poignet d'Anthony de l'autre. Elle savait où est-ce qu'elle voulait aller. Elle sortit de la cuisine, se dirigeant vers la Grande Salle. Elle passa d'une fesse une des grosse porte. Fiou, elle était vide, certes il faisait noir, mais la lueur de la lune les éclairait. D'instinct, elle marchera vers la table de Gryffindor. Une fois à cette hauteur, elle posera la pizza sur la table, lâchant son poignet. Elle retira ses talons, grimpera sur un banc pour s'asseoir à même la table, laissant ses jambes pendre dans le vide, en les croisant bien sûr. Cela faisait un peu plus féminin. Elle se saisit immédiatement d'une pointe, en prenant une bouchée. C'était urgent elle en avait de soi. Elle garda son éternel sourire. Comme une enfant. Puis, lorsqu'elle avala, elle le regardera. Pendant un long moment en silence, déposant sa pointe sur l'assiette. 

Amandine:"Hmhm.... Bon, on l'ouvre cette bouteille. Je suis même prête à boire à même la bouteille... Puis... Hm... J'aurais une question à te poser..."

Quoi, ils avaient convenu qu'ils étaient plus des amis. Elle avait une question. Il fallait qu'elle lui la pose, là tout de suite.

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Message par Vanoute Ven 19 Fév - 22:09

Oui. Sur les Hommes avec un grand H. Sur l’espèce humaine en général sûrement parce que Mel’, ne se mentons pas, était bien là où elle était. Du moins, physiquement. La proximité était quelque chose de rechercher parfois chez les gens ivres. Bien que Mel’ n’était pas de base comme ça quand elle buvait, là, tout de suite, elle était contente de sentir son bras contre elle. Peut-être que dans son cas, ça se faisait inconsciemment, mais c’était là quand même. La chaleur humaine était apaisante, c’était naturel. Donc oui, elle sentit un frisson sur sa nuque quand il passa sa main sur sa taille et oui elle se laissa attirer contre lui. L’alcool aidait. Elle continua de soutenir son regard, difficilement parce qu’elle sentait cette honte pesant en elle, mais elle faisait des efforts. Pas besoin de parler bien fort quand on est si près, elle l’écouta, ses paroles lui faisaient du bien. L’alcool faisait ça aussi, les bons mots apaisaient plus, comme si le cerveau ne pouvait pas créer le doute avec des mots de d’autres. Elle lui sourit, vraiment gentiment, vraiment reconnaissante.

Mélina : tu ne peux pas savoir comment…ça me touche ce que tu me dis… et pas juste là, tout de suite, tout ce que tu me dis, je le sens que tu es honnête…même sans ta promesse, PA, jamais je ne douterais de ce que tu dis, je sais que tu es comme ça…

C’était très franc de sa part et ça se voulait comme un très beau compliment. Ce l’était non? Il arrivait vraiment à la faire sentir mieux et vraiment ça fonctionnait pour de vrai, elle ne faisait pas assemblant de se sentir mieux, c’était vrai. Le cœur plus léger. Elle le suivit des yeux quand il se leva…non, mais il allait ou? Son bras était parti et déjà, ça lui faisait comme un vide. Elle le regarda, encore assise en indien, sa coupe vide entre ses mains. Fatiguée? Exténuée serait peut-être plus juste même…il était mignon dans sa façon de toujours lui répéter qu’elle avait le choix, le dernier mot et tout ça. Ses yeux s’agrandirent un peu. Son lit? Elle alla pour parler, mais il poursuivit…étrangement, elle ne voulait pas partir non plus. Ah bon sang, l’alcool et ses effets. Elle réagit tout de suite.

Mélina : Voyons, je ne peux pas te laisser dormir par terre! Enfin! Ce que je veux dire…moi non plus je n’ai pas très envie de partir, je me sens bien ici, à parler avec toi. J’ai l’impression que si je sors, mon cerveau va trop se remettre en marche et…ça me fait peur. Et puis les marches vont clairement tenter de me tuer.

Un brin d’humour même saoule. Oui oui, ça aidait à faire passer la vérité l’humour. Wow. C’était beaucoup de mots. C’était aussi beaucoup de choses non dites. Qu’est-ce qu’elle venait de dire là? En plus, PA avait bu aussi hein.

Et bien sûr, Antho savait qu’Amandine était beaucoup plus à l’aise avec lui quand ils étaient seuls. Est-ce que ça voulait dire qu’ils devaient faire attention? Ou ils pouvaient se rapprocher un brin parfois en public…comme au bal? Il se le demandait bien, mais pas besoin de lui demander tout de suite. Non là. Pizza et rhum! Et humour, parce que là, elle le trouvait drôle et sérieusement, il adorait ça. Donc il en mettait encore plus.

Anthony : Les maîtres du monde je te dis! Je n’exagère pas!

Quel comédien quand même. D’ailleurs, il blagua même avec les elfes parce que malgré ses bêtises, il se montra très respectueux avec eux. Il lança un clin d’œil à Boucle-d’Or quand elle le regarda et en moins de temps qu’il le faut pour le dire, une pizza était dans leur bras après de chaleureux merci, ils partirent. Il voulut savoir la suite des choses. Ou allait-il manger leur festin, hm? N’importe où lui convenait, mais visiblement, Amandine avait de la suite dans les idées. Il sourit en la suivant docilement. La Grande Salle? Intéressant comme choix! Oh, les souvenirs de cet endroit! En plus, elle alla à la table des Gryffondor. Ah ouais, bon choix! Elle s’installa à même la table, il sourit. Il retira son veston en le mettant sur la table et il prit place, sur le banc, près d’elle, étirant ses grandes jambes pour s’appuyer sur le banc d’en face. La bouteille entre les mains, observant un peu la marchandise qu’elle avait réussi à avoir. Lui aussi continuait de sourire, sans arrêt, sans raison. Quand elle parla d’ouvrir la bouteille il s’exécuta de suite et quand elle parla de boire direct, il eut un sourire espiègle et y but direct. Ouep! Pas de problème pour le Guerrier. Mais il lui tendit ensuite en la regardant. Une…question? Curieux, il acquiesça d’un mouvement de la tête.

Anthony : Vas-y, je t’écoute…

Curieux curieux! Il prit quand même une pointe de pizza en attendant, la pliant presque en deux pour la manger. Nah, il perdait pas son temps avec sa de la pizza lui! Il faudrait mieux qu’elle la surveille parce que sinon il alla la dévorer à lui seul!

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Message par Marie_Eve_1989 Sam 20 Fév - 0:11

C'était gros ce qu'elle venait de lui, en premier lieu. Qu'elle ne doutait pas de ses mots. Que même s'il n'avait pas fait de promesses, elle le voyait. Cela le toucha au plus au point, car le Professeur de balais ne se forçait pas pour dire ce qu'il lui disait. Il ne se forçait pas pour être la personne qu'il était et ses mots ont un un effet monstre sur lui. Il n'en dira rien, mais son coeur fit un saut, gratifié de ses belles paroles. En tout cas, tout cela pour dire que Peter le prenait effectivement pour un magnifique compliment. Cela était sûr. Puis, il eut le problème du dilemme. Il savait qu'elle devait être exténuée, mais il ne se convainquait pas de la laisser partir. Pas comme cela, pas après tous ses aveux, pas après les rapprochements peut-être non voulu ou voulu grâce à Madame l'alcool.

Donc voilà. Il s'était mis devant elle, une main sur sa nuque. Quelque chose le démangeait. Il lui en avait fait part et il patientait pour sa réponse. Qui vint très rapidement, tout de même. Blanche-Neige lui affirma qu'elle ne pouvait pas le laisser dormir par terre. Il dormirait où alors? Hm!Puis, elle enchaîna qu'elle n'avait pas envie de partir, elle non plus. Qu'elle était bien, avec lui, à parler. Sa main sur sa nuque glissa, retournant dans ses poches. Il l'écouta. Essayant de dissimuler ce qu'elle voulait dire dans tous ses mots. Tout en la regardant. L'analysant. Puis, elle termina ses paroles avec une touche d'humour, qui aura pour effet de faire revenir le magnifique sourire du Sincère. Elle était mignonne. Oui, les marches, c'est sûr que c'était l'excuse parfaite pour ne pas vouloir sortir de sa chambre, il s'en doutait. On entend déjà, vaguement, Amandine crier de loin:" C'ET SÛR QUE C'EST LA FAUTE DES MARCHES, VOYONS, TOUT LE MONDE SAIT ÇA....!" Ce serait crié avec beaucoup d'amour. 

Peter:" Bon... Je ne dors pas par terre, mais tu dors ici? Je ne voudrais pas que ces terrifiantes marches te fassent du mal... Je prends le côté gauche tu prends le côté droit? Ça te va?"

Il finissait toujours par lui demander son accord. Puis, pour finaliser leur entente, il s'approcha d'elle, se saisissant de sa coupe et de la bouteille pour les mettre sur le coffre. Ensuite, il retira les oreilles de décoration, qu'il mettra au sol, aux côté du coffre de chevet. Ensuite, le Brun tira les couvertures, pour les replier. En terminant, il posera un regard sur elle. Un regard questionneur, qui avait pour bu de lui demander; Toujours sûre? Sinon, j'irai te porter... Puis encore une foi, Monsieur instinct viendra se pointer le bout du nez, se rapprochant de nouveau vers elle. Attrapant une de ses mains, il fera une légère pression pour qu'elle se lève, pour dire, aller vient on va aller dormir. Il savait déjà qu'il dormirait de son côté. Qu'il ne bougerait pas si elle, elle ne bouge pas, qu'il garderait ses vêtements, même s'il était habitué à dormir en boxer. Oui il savait qu'il allait être respectueux, c'était peut-être pour cela qu'il était venu cueillir sa main et l'amener se coucher.  

Puis, les autres étaient dans la Grande salle, à leur ancienne table, Gryffondor. Sans doute un peu de nostalgie s'était pris d'Amandine. Ils avaient dîné là un nombre incalculable de fois. Puis, ce soir, avec leur nouveau statut de pas juste des amis, elle avait besoin de revenir à un lieu repère pour eux. Où ils avaient la tranquillité. Rien qu'à eux. Certes, elle était plus à l'aise avec lui, seul à seul, mais comme elle lui avait dit, S'ils étaient à être plus que des amis, ils devaient s'habituer a faire des petits apparitions de geste en public. Cela prendrait peut-être des semaines, des mois, enfin, peut-être, mais elle savait qu'elle devait aussi y faire face. Mais bon, ce sera une conversation qu'ils auront en temps et lieu. Maintenant ils avaient des plans. Oui. Assis chacun de leur côté, côte à côte. Elle avait commencé le festin, mais elle s'était arrêtée. Un moment, car elle voulait boire et lui poser une question. Il avait pris une gorgée, puis lui tendit la bouteille, qu'elle prit. Elle en prendra une grosse gorgée, ayant une petite grimace à la fin.

Amandine:"Comment tu fais pour ne pas avoir de grimace... HO mon dieu."

Puis, elle en prit une nouvelle gorgée avec toujours le même manège à la fin de celle-ci. Bon, tu avais une question? Hm mois. Elle le fera tout de même patienter, reprenant une gorgée de rhum, puis une bouchée de pizza. Elle faisait exprès? Non, sa question la gênait, voilà tout. Puis, elle lui tendra la bouteille de nouveau, reposant sa pointe sur l'assiette. essuyant ses mains entre elles, comme si elles étaient salle. Ses perles d'automne venant percer la noirceur pour plonger dans les siennes. C'est que tu es lente, Amandine. Accouches un peu.... Tu voulais le savoir après tout, puis bon, vu que votre statut de pas ami est officiel, cela était normal que tu avais des questions...Bon... 

Amandine:"Je voulais savoir... Comme étais-tu.... Enfin... J'aimerais savoir.... (Elle eut un soupire, ne le lâchant pas du regard, si elle le lâchait, elle ne lui posera pas la question.) J'aimerais savoir comment était-ce ta relation, dans le temps de Poudlard... Comment tu étais, comment elle était... C'est niaiseux... Mais je voudrais savoir... "

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Message par Vanoute Sam 20 Fév - 13:06

Elle le pensait réellement. Il avait un dicton ou bien une vérité qui disait que les gens saouls ne peuvent pas réellement mentir. Ça impliquait de faire fonctionner le cerveau, la vérité est moins difficile à dire quand elle n’est pas cachée par un mensonge. Enfin, c’est surtout vrai quand on a de l’alcool dans le sang! Elle ne vit peut-être pas l’effet de ses paroles sur lui, mais elle était très contente de l’avoir dit en tout cas. Un dilemme? Mélina saoule ne voyait pas le dilemme là. Oui, l’alcool hein…bon, c’est facile de mettre la faute là-dessus, au fond, c’était l’alcool et ce qu’elle ressentait. Parce qu’en réalité, on ne fait pas trop un truc qu’on ne veut pas réellement quand on boit. L’alcool est une excuse trop facile. Même Mélina le disait quand elle était sobre.

Ho! Elle l’avait fait sourire, ça la détendit un peu. Elle avait ressenti comme un petit stress, c’était mal ce qu’elle avait dit? Oh oui, la Mélina saoule se posait 1000 fois plus de questions que la sobre. Oh oui, Mélina l’entendait bien la voix d’Amandine dans sa tête, elle n’avait peut-être pas idée à quel point elle allait l’entendre le lendemain matin hein! Enfin, il réagit, répondit. Elle continua de sourire, ça la rendait presque mignonne, les yeux rougis encore par d’anciennes larmes, les joues rouges d’alcool et un sourire mignon sur ses lèvres. C’est maintenant officiel. Les marches, c’est le mal. Elle hocha la tête pour signifier que oui, ça lui allait. Une partie de son cerveau cherchait c’était quand la dernière fois qu’elle avait dormi avec un garçon…Bon, la dernière fois datait d’un moment de ‘’vacance’’ durant la guerre, elle avait écouté un film d’horreur terrible…et elle avait dormi avec…son frère. Mais son frère ne comptait pas vraiment comme un garçon hein?...Pas grave.

Mélina : Je te le dis, à Poudlard, ce qui semble être inanimé est parfois super dangereux…Et elle continuait dans son délire en plus. Les tableaux nous insultent, les armures décoratives te donnent parfois des petits coups de piquent sur les fesses…et les escaliers mangent les pieds voilà.

Puis elle rit. Ouh là, une autre phase de l’alcool? Peut-être, pour camoufler sa nervosité. Et elle ne répondait presque jamais à ce qu’il lui demandait, c’était bien parce que ça la gênait, pas qu’elle ne comprenait pas hein. Donc qui ne dit mot consent, c’est ça le dicton? Elle le regarda s’activer à retirer les oreillers, placer les couvertures…et elle ne bougeait pas du lit. Bonjour, tu es dans le chemin, tu t’en rends un peu compte? Visiblement pas. Il avait pris la coupe et la bouteille qu’elle avait laissé partir sans réagir. Il en avait plus d’alcool de toute façon alors… Oh et oui, elle semblait toujours sûr…enfin, dans ses non-dits. Il allait devenir un Pro’ PA à force hein. Non sérieusement, elle voulait…vraiment rester, mais c’était gênant à dire. Elle le regarda s’approcher et quand il prit sa main, elle ne fit que se lever, suivant le mouvement qu’il avait initié. C’était l’heure? Il fallait dormir là, hein? Et bon, ils finirent par se coucher, chacun de leur côté. Elle se glissa sous les draps avec une gêne un peu perceptible. Elle était bien, elle était confortable. Sauf que quand on se couche après avoir bu, on dirait que le monde se met à tourner. Heureusement, pas assez pour lui donner mal au cœur, mais assez pour qu’elle fixe quelque chose pour centrer son corps. Quand il ferma les lumières, son regard tomba sur la lune à l’extérieur. Oui, ça se fixait bien. Elle s’était couchée sur le côté, dos à PA, parce qu’elle avait presque peur de le déranger en dormant dans son lit. Peur de le toucher, peur peut-être de…bref. Elle était épuisée, mais elle n’allait pas s’endormir aussi facilement.

Mélina : PA? Tu ne parles jamais…vraiment beaucoup de toi. Bon sang que ça tournait. Dis-moi quelque chose sur toi…Le nom de ton meilleur ami d’enfance? Ou tu vivais, c’était comment..? Ton repas préféré…n’importe quoi. Mais si tu préfères dormir, je vais pas t’embêter avec mes questions.

Il avait clairement un sourire dans sa voix. Elle voulait le connaître un peu plus, ils connaissaient la base du monsieur, mais elle était curieuse et comme elle voulait parler un peu pour briser le silence qui la gênait et le sommeil qui semblait s’éloigner, elle parlait. Peut-être qu’il dormait déjà qui sait! Hmhm.


Pizza. Rhum. Et on peut dire fréquentions. C’était presque le paradis pour Antho’ en ce moment. Elle semblait mieux, moins nerveuse, il était content qu’elle passe un bon moment. C’était important et ça lui permettait à lui de passer un bon moment. Il n’était pas difficile notre Anthony. Oh…il ne faisait pas de grimace? Il avait l’habitude c’est pour ça. Mais il n’allait pas lui répondre ça, ça…ça restait son secret honteux si on peut dire. Il n’arrivait pas à parler de ça à personne. Peut-être Tristan le savait parce qu’il le voyait souvent pour le travail.

Anthony : Je m’efforce de pas en faire, question de faire virile, tu comprends.

Dit-il avec sa voix d’humoriste. Là, il avait sa pointe de pizza dans une main, son regard sur la jolie blonde. Hm? La question? Tu as oublié la question Amandine ou tu le fais patienter? Oh, il allait attendre, on ne s’inquiète pas pour ça. Bon au moins il avait le droit à un peu de rhum pour attendre. Il soutint son regard quand elle le regarda. Ça devait être une question…importante. Ça le rendait peut-être un peu nerveux. Une autre gorgée de rhum puis elle parla. Il haussa les sourcils de surprise. Rose? Sa relation…avec Rose? Il était terriblement surpris qu’elle lui parle d’elle, mais en même temps, elle avait le droit, c’était normal et visiblement ça ne le gênait pas vraiment. Il lui sourit en secouant négativement la tête.

Anthony : Non, ce n’est pas niaiseux Ama’. Alors, comment moi j’étais? He ben…Elle partageait le cours de botanique ensemble. C’était Rose Hopkins, de Pouffsouffle, tu te souviens d’elle? Bref. Je la trouvais mignonne et elle était drôle. J’avais 15 ans à l’époque et disons que je comprenais peut-être pas ce que c’était l’amour, mais je me disais que ça devait ressembler à ce que j’éprouvais pour elle. J’aimais être en sa compagnie, j’aimais la présenter à mes amis…Et elle? Elle devait avoir 20 ans d’âge mental même si elle était drôle. Elle prenait ses études au sérieux. C’était une bonne personne, mais on avait…comme un décalage dans notre façon de percevoir la vie. Je ne savais pas encore ce que je voulais faire, tu sais, je crois que ça me faisait peur un peu à cet âge-là d’être adulte. Ma mère avait son connard de copain, mon père était mort…je trouvais que ça avait l’air terrible. Sauf qu’elle, elle parlait déjà du ‘’après’’ Poudlard et tout le reste. C’est un peu pour ça qu’on s’est quitté, ça est autre chose. Mais on était pas au même endroit, elle voulait des enfants, une maison, un chalet, tu sais tout ça. Et finalement on s’est laissé, d’un genre de commun accord.

Voilà, c’était…ça. Il l’avait peut-être quitté des yeux un petit moment pendant qu’il parlait, buvant parfois une gorgée de rhum, il ne semblait pas gênée de parler de ses choses là le Guerrier. Puis il replanta son regard dans le sien, souriant toujours.

Anthony : Tu veux savoir autre chose?

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Message par Marie_Eve_1989 Sam 20 Fév - 17:58

Bon, c'est sûr que l'histoire des marches restera gravée dans sa tête. C'est beaucoup drôle et loufoque pour ne pas qu'il l'oublie et en temps de crise, il pourra l'utiliser. Du genre: Tu sais, j'ai vraiment ce soir, pour ta sécurité. Avec ses marches meurtrières, je ne pourrai pas te laisser partir. Oh oui! Cette histoire allait revenir, il en était sûr. Ce n'était pas méchant, c'était tout simplement mignon sa façon de se donner une excuse pour rester, de ne pas dire la vérité,car elle était trop gênée de la dire, pas parce qu'elle n'attendait pas ses mots. Une excuse de fille saoule équivaut à tout vérité dite par une fille sobre. Ça oui, car il avait dans ses paroles, un côté adorable, le refus de vouloir dire clairement:Oui je veux dormir ici. C'est pour cette raison que le Professeur des potions ne dira rien à ses mots sur les choses non-bougeantes, mais effrayantes de Pouillard. Il avait seulement gardé son sourire amusé, retenant ses paroles, pour s'en resservir lorsque le moment sera venu. 

Oui, c'était l'heure de dormir. Enfin, du moins, se coucher un peu. Donc, voila. Le Sincère lâchera sa main, pour entre sous les couvertures et éteindre d'un coup de baguette magique les lumières et les rideaux, couvrant ainsi les voiles blancs transparent qui laissait voir l'extérieur. Sauf un, celui sur le côté de Mélina, pour laisser un peu de lumière naturelle dans la chambre. Pour que Blanche-Neige se fasse un peu de repères dans cet appartement qu'elle ne connaissait pas. Il était prévoyant, il pensait à tout son confort. Il s'installa sur le dos, pliant le bras le plus proche de Mélina, pour que sa paume soit sous sa tête à lui. L'autre bras, celui près du bord se pliera également, mettant une main contre son propre ventre. Ses perles resteront ouvertes. À calmer sa respiration. Il ne voulait pas avoir l'air du gars qui capote parce qu'il y a une fille dans son lit. Non, il semblait être détendu. C'était dans sa tête que le carnaval se passait. Un univers de questions, qu'il essaye de camoufler et de vouloir voir disparaître. Il fixait aussi le plafond pour ne pas laisser les effets de l'alcool monter à sa tête. L'idée de contact humain, l'idée de besoin charnel. Oui, une sorte de tourbillon, différent de celui de Mélina. Mélina qui était si loin de lui, dans le lit. Dos à lui, de l'autre côté. Il n'avait pas besoin de regarder pour le savoir. Cela se sentait dans le lit. Le Joueur de Quidditch n'en était pas vexé. Il le savait et il respectait cela. Il trouvait même un côté adorable à la situation. 

Puis, elle parla, dans le noir... Ce qui donna à ses mots un sens particulier. Vous savez, quand on a une conversation dans le noir, la nuit, on dirait qu'elle est plus intime, plus véridique. Elle lui avoua pas savoir beaucoup de choses de lui. Enfin, c'est ce qu'il en déduisit, puisqu'elle lui dit qu'il ne parlait jamais beaucoup de lui. C'était vrai, car Peter aimait connaître les gens qui l'entouraient avant de se dévoiler. Où il en avait pas vu encore l'occasion. Il laissait les gens parler, pour ensuite se laisser découvrir. Il n'était pas prétentieux. Non du tout. Sincère même dans ses amitiés. Dans sa façon d'agir avec les autres. Il ne volait pas la place de personne, il laissait la chance à celle-ci de lui montrer qui elle était vraiment, avant de se montrer lui-même. Il avait dans cette pensée beaucoup de maturité. Beaucoup. Puis, elle lui demande qu'il lui dise quelque chose. Sur sa vie sur lui. Elle proposa même des questions. Ce qui aura pour effet de le faire sourire. Un sourire charmant. Charmé de ses mots. Non, il ne dormait pas. Il en était incapable pour l'instant. Il écoutait le silence, pour voir si elle, elle s'endormait, pour entendre les bruits du lits, du mouvement... Restant dans la même position, toujours fixé sur la plafond, il lui répondit... 

Peter:"Tu veux que je te dise quelque chose sur moi? D'accord... (Oui, dans le son de sa voix, cela paraissait qu'il trouvait cela mignon.) Mon ami d'enfance se nomme Joshua. On a grandi ensemble, nos Pères travaillant pour la même firme à San Francisco. Donc, comme tu peux en déduire, je viens des Etats-Unis! J'ai grandi dans le même condo toute ma vie. Ma mère est sorcière et mon père est moldu. Il travaille en bourse, alors qu'elle, elle est désigner pour une boutique de sorcier... Dans un coin... Qui ressemble un peu au chemin de traverse, ici... (Il cherchait un peu ses mots, cela paraissait qu'il ne venait pas du même cercle de Poudlard.) J'ai étudié à l'école Ilvermorny. Très différente d'ici. Ici, C'est un chateau, c'est vieux, mais cela inspire beaucoup. Là-bas... C'était différent, mettons. On étudie comme vous, de l'âge de 11 ans... Jusqu'à 17. Mon cours favori était bien spur... l'art de voler. Je joue au Quidditch depuis l'âge que ... En fait, je suis sûr un balais depuis que je sais marcher je crois. Ho! Ha oui, mon repas préféré... De la lasagne, fait pas ma mère, car elle met une deuxième couche de cheddar entre les étage. Je te ferai gouter un de ses jours... Si tu veux. " 

Il s'était laissé emporter, par tous ses mots, par le désir du Professeur de potions à vouloir en savoir plus. Il n'avait pas lâché son regard de son plafond. Ne bougeant à peine. Il ne savait pas si ce qu'il avait dit était assez. Si elle voulait en savoir plus. Ce qu'elle voulait savoir aussi. Donc, il se calma, car il aurait pu s'emporter beaucoup plus cela. Attendant de voir si elle ne s'était pas juste endormie à ses mots...
 
De l'autre côté, de l'autre duo. Il y avait quelqu'un aussi qui avait dit beaucoup de mots. Et c'était normal, car Boucle-d'Or lui avait posé une question. Une question sur sa vie d'avant. Après tout, avec le statut de fréquentation, c'était normal qu'elle se pose des questions. Enfin, ses questions dataient quand même, mais elle n'osait jamais lui poser, car elle se disait que ce n'était pas de ses affaires. Mais lia, avec l'alcool et leur relation qui avait avancé d'un pas, elle se permit de lui demander une de ses innombrables questions. Oui, le rhum aidait beaucoup aussi, dans cette situation. Elle en prit, accompagnée de grimaces, alors que lui il n'en fait pas. Il lui dit l'excuse qu'il était un homme et c'était pur cette raison. Elle accepta cette excuse, ne sachant pas que l'alcool était sa petite bête noire. 

Puis, il parla, il répond enfin à sa questions. Elle l'écouta attentivement et plus il parlait, plus que son regard déviait vers le sol. Ses deux minimes iront s'accrocher sur le rebord de la table. Rose Hopkins. Oui, elle s'en souvenait, c'était pour cette raison qu'elle avait répondu d'un hochement de tête, en silence. Mon dieu qu'elle la trouvait Belle, cette fille-là. Et cela avait été la copine d'Anthony. N'importe qu'elle fille, même si Amandine est très jolie, s'aurait comparé. En plus, il lui dit qu'elle la trouvait drôle. Elle était drôle, aussi, la Amandine. Bon, Rose était mature et drôle. Amandine, juste drôle? Enfin bref, un brin jalouse, mais rien ne paraissait, car elle l'écouta attentivement, juste ses minimes serrées sur le rebord de la table pouvait laisser croire cela, mais il était assis plus bas, pas de chance de le voir. Puis, son minois revint vers lui, pour le regarder, lorsqu'il expliqua la raison de leur rupture. "Ça et autre chose." Ce qui aura pour effet de piquer sa curiosité. Pourquoi ne l'avait-il pas simplement dit, qu'est-ce que c'était, l'autre chose? Il souriait, donc, comédienne qu'elle était, lui souriait en échange. Un léger sourire. Puis, le Guerrier demanda si elle voulait savoir autre chose... À ce moment, elle décroisera ses jambes et glissera ses fesses pour s'asseoir à ses côtés. Elle lui prendra la bouteille de ses mains, prenant une longue gorgée, tout en le regardant. Une fois fait, avec la grimace et tout, elle le lui retend. Gardant son mini sourire. 

Amandine:"C'était quoi... L'autre chose? L'autre raison de votre rupture?"

Il fallait qu'elle lui demande. Son sourire s'effaça légèrement, ne lâchant pas son regard. Sa respiration s'activa un brin, comme si elle se doutait de sa réponse... 

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Message par Vanoute Sam 20 Fév - 23:40

Oh et Mélina avait le don d’exagéré ce qu’elle commençait. Ça pouvait finir que les marches avaient des plans de dominations du monde. Tu vas voir PA, c’est une habitude de la brunette de faire ça, c’est son humour. Les objets inanimés devenaient animés. En temps de crise? La prochaine fois? Hm-hm. Et oui, c’était clairement une excuse, mais ce n’était pas un mensonge! Bon, peut-être qu’elle se mentait légèrement à elle-même, mais ce n’est pas méchant comme un vrai mensonge. Elle ne disait pas le contraire de ce qu’elle pensait, elle le montrait juste d’une autre façon et l’humour l’aidait souvent.

Donc oui, c’était l’heure de se coucher, mais pas de dormir. Si elle avait vraiment eu envie de dormir un instant plus tôt, là, elle ne pensait pas y arriver tout de suite. Au moins ce n’était pas par manque de confiance envers PA. Il était trop respectueux pour ça. Une fois les lumières fermées, on dirait que l’ambiance changea. Pas en mal, mais plutôt en bien. Ça lui rappelait toutes les conversations avec Amandine quand les lumières se fermaient. Ça commençaient pas un ‘’il faut dormir’’ à des conversations durant des heures et des heures. Et elle sentait PA pas trop loin d’elle, le lit ne faisait pas des kilomètres de long non plus… c’était presque agaçant, elle avait presque eut envie de juste savoir à quelle distance il se trouvait… pas trop loin, elle sentait un peu sa chaleur…ou c’était son imagination? Peu importe, il fallait qu’elle parle, sauf que là, elle avait envie de parler de lui de le connaître un peu plus, de savoir des choses que les autres ne savaient pas encore…alors elle posa des questions, précises, enfantines, mais qui n’aimaient pas le jeu des questions parfois hein? En même temps qu’elle parlait, elle se souvenait de la chaleur de son contact durant ses pleurs...non, il fallait qu'elle parle, qu’il parle, bref quelque chose se dise pour qu’elle pense à ça. Il suivit, heureusement, son jeu en répondant à toutes ses questions. Il trouvait ça mignon ? Elle pouvait le sentir, elle eut un sourire en entendant l’intonation de sa voix. Et elle écouta. Attentivement. Joshua. San Francisco. Elle sourit quand il parla de ses parents. Ah oui, son amour du Quidditch, d’ailleurs, cela lui donna l’opportunité de poser une autre question après qu’il ait terminé. La lasagne, elle sourit, attendrit. Oh, lui faire goutter? Tu l’inviterais chez toi? Elle sourit délicatement à cette pensée.

Il put sentir qu’elle avait bougé pendant qu’il parlait, elle s’était mise sur le dos aussi, les mains sur son ventre et la tête un peu tournée vers lui pour essayer de deviner son profil dans la noirceur de la chambre pendant qu’il parlait. Elle aimait la façon dont il avait parlé de lui, l’enthousiasme, son ouverture à se livre, même si c’était pour dire que les lasagnes de sa maman sont les meilleurs du monde. Elle commenta alors, d’une petite voix, parce que pas besoin de crier dans le noir, murmurer ça fait l’affaire.

Mélina : Plus qu’il y a de fromage dans une lasagne, mieux que c’est… j’adorerais y gouter. San Francisco…j’aimerais tellement voir ça…en fait, j’aimerais pas mal aller partout dans le monde je crois. Elle ricana un peu, un bref silence avant de continuer à parler. Je vais te poser une autre question, mais si tu préfères…ne pas répondre parce que c’est personnel ou autre, tu peux me le dire d’accord? Dis-moi, PA, pourquoi tu as choisi l’enseignement au lieu de l’équipe? C’était…sans doute une opportunité en or.’’

C’était sans doute plus personnel que n’importe quelle autre question qu’elle avait posée, mais si ça la chicotait depuis longtemps, là elle osait enfin. En même temps, elle ne serait pas fâchée s’il ne voulait pas lui dire…


Là, c’était Anthony qui parlait beaucoup de l’autre côté. Et il parlait de lui. Genre sa vie avant Amandine, avant même qu’ils ne soient amis. Il ne réalisait peut-être pas l’effet de ses paroles sur la jolie blonde. Pour lui c’était tellement du passé, presque dans une autre vie qu’il ne voyait absolument pas le mal là-dedans. Il disait la vérité, c’était ça qui était important au moins. Et il ne parlait pas de cette Rose comme s’il s’en ennuyait, loin de là. Elle restait spéciale en termes de première copine, mais ça restait tout. Il la suivit des yeux quand elle se laissa tomber près de lui, un bref sourire aux lèvres en se disant qu’elle allait sûrement lui demander c’était quoi l’autre chose hein. Il l’espérait beaucoup. Elle prit la bouteille avant toute chose. Aller, ton regard dit que tu as autre chose à demander, que tu as une question qui te brûle les lèvres et il ne put cacher son sourire quand elle lui posa finalement la question. Il reprit la bouteille, sourire espiègle sur ses lippes.

Anthony : Il avait cette drôle de fille dans ma maison. Elle était spéciale…bon, elle criait pas mal avec sa meilleure amie, mais ça ne me gênait pas. Blonde, la plus belle fille que j’ai vue de ma vie. Rose l’a remarqué que je l’avais remarqué aussi. Et puis, je pensais à tout ce qu’elle m’avait dit. J’ai eu de la maturité dans cette relation, mais ce n’était pas pour être avec Elle. Non. L’autre fille semblait vraiment, mais vraiment beaucoup plus intéressante.

Oh que tu es coquin Anthony Tremblay. Bien sûr, il parlait d’Amandine et ne pas dire son nom l’amusait un peu trop. En même temps, il voulait lui faire comprendre qu’il ne pouvait pas comparer les deux filles. Non, en réalité, il ne le dirait pas pour ne pas lui faire peur, Amandine, il pourrait passer sa vie avec elle sans se tanner et ça, il le savait particulièrement bien. Mais ça, ça faisait peur de le dire à quelqu’un.

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Message par Marie_Eve_1989 Dim 21 Fév - 9:15

Oui! Il en avait eu des conversation, dans la noirceur, même si les deux Demoiselles se disaient; Il faut dormir, l'une ou l'autre devait commencer un nouveau sujet de conversation et c'était un cercle sans fin. Des rire à n'en plus finir. Plus d'une fois à Poudlard, elles s'étaient faites avertir, car elles parlaient trop. Pendant trop longtemps. Même à la maison, durant les vacances, ses conversations de nuit continuaient. Des fois, encore, Amandine se surprenait à aller voir Mélina et à refaire ce genre de soirée. Certes, leurs conversations avaient légèrement changé. Elles avaient vieilli. Leur coeur et leurs pensées avait pris en maturité., avaient subi des coups différents que leur déboires amoureux d'adolescences, mais elle aimait refaire ce genre de soirée. Oui! Quand la lumière s'éteint et qu'il faut dormir, voilà la meilleure porte de sortie pour débuter des conversations interminables... 

Donc voilà, Il s'était mis à décrire sa vie, sous sa demande. Elle voulait le connaître d'avantage. Donc, il s'ouvra. Il n'avait pas peur de parler, pour lui se dévoiler était l'étage suprême sur l'échelle de l'honnêteté. Donc, cela allait de soi qu'il s'ouvre, qu'il réponde à ses questions, avec des détails. Puis, lors de son discours, elle bouge. Il le sentit tout de suite, car comme dit, le lit ne mesurait pas des kilomètres à n'en plus finir. Blanche-Neige était sur le dos, comme lui. Elle avait tourné un peu la tête, pour voir son profil. Il fit de même, gardant sa main sou sa nuque et l'autre main sur son ventre. Il croisa son regard, plongeant le sien dans celui du Professeur de potions. Il se le permit, Mélina avait bougé. Peter pouvait donc la regarder. Puis, elle répondit à ses aveux. Un sourire vint à ses lèvres. Il l'écouta. Plus de fromage? Toujours plus de fromage, c'était une devise. Elle voudrait y gouter. C'était peut-être une promesse en l'air pour elle, mais lui il prit cela très au sérieux. Et cela le combla de joie. Puis, elle lui avoua de vouloir voyager, de vouloir venir voir sa petite, mais si grande ville. Autre promesse qu'il se fit. Puis, il eut un silence. Avant qu'elle continua...

La Brunette avait une autre question. Que s'il préférait, il n'était pas obligé de répondre. Cela l'intriguait. Stressé? Non, plus surpris, car il se demandait quelle question pouvait-elle demander et qu'il pourrait se garder une gêne de répondre. Ho, cette question. Son choix sur l'enseignement, plutôt de l'équipe... Plutôt de faire ce qu'il aime vraiment dans la vie. Oui, cela avait été une opportunité en or. Il rêvait sans doute de ce moment depuis sa tendre enfance, mais il avait décidé finalement de venir à Poudlard, pour enseigner une matière qu'il connaissait quand même bien, mais qui était très différente de la carrière qu'il aurait pu avoir. Puis, il se leva, s'assoyant dans le lit, passant une main sur sa nuque, en train de réfléchir. Le regard sur les couvertures. Il ne réfléchissait pas à s'il répondait oui ou non à la question. Il allait y répondre. Cela allait de soi, car pour lui, c'était d'être sincère. Il voulait calculé ses mots, peut-être. Puis, il pencha la tête vers elle, pour la regarder. En fait non, il s'assola en indien, de côté, face à elle, le regard dans le sien, avec un petit sourire amusé aux lèvres... 

Peter:" Très bonne question... Je venais de terminer mes études, il a eu la Guerre, puis il a eu ce poste, dans cette équipe. J'avais postulé, j'avais également postulé pour le poste de Professeur, j'ai eu les réponses presqu'au même moment... Je venais d'avoir mes 19 ans. J'étais avec une fille, cela faisait 4 ans que nous étions ensemble. Cela allait très bien, dans l'ensemble. Je n'étais pas prêt à dire que c'était la femme de ma vie, mais je n'étais pas prêt à dire le contraire, non plus... Puis, lorsque j'ai eu mes deux réponses, j'ai su qu'elle entretenait une relation secrète depuis la Guerre. Avec quelqu'un d'autre. (Il haussa les épaules, non cette histoire ne semblait plus le toucher. Du moins, il ne le démontrait pas...) Au début, je voulais accepter le poste de Gardien, immédiatement, lui montrer que je serais populaire... Que je me débrouillerais très bien sans elle. Mon dieu que c'était enfantin comme pensées. Je tardais à donne ma réponse ici. Comme si quelque chose m'empêchait d'accepter le poste de gardien, comme si je me gardais une porte de sortie. Donc, le directeur m'a envoyé une autre lettre. Disant qu'il aimerait vraiment ça m'avoir dans son équipe de nouveaux enseignants. Il m'envoya même une photo de ses enseignants, pour me montrer avec qui les gens je travaillerais... Puisque venant d'une autre école, je ne connaissais pas personne... Il disait dans sa lettre que des fois, mettre des visages sur les gens, aidaient à faire un choix. Et cela m'a aidé... Car j'ai vu le tien... Et je n'ai pas hésité. Je ne sais pas pourquoi... Je ne te connais même pas, mais je suis un gars d'instinct, alors je me suis lancé... J'ai quitté mon trop grand condo, ma belle Californie et me voilà ici... 

Il n'était pas gêné de ses paroles. Elles ne voulaient pa dire qu'il était amoureux d'elle. Ou même qu'il avait un oeil sur elle, même si c'était le contraire. Non, simplement lui dire que son visage a poussé son instinct à venir ici. C'était sincère. Son sourire était amusé, encore, il continuait à la regarder, ses mains jouant avec les couvertures. Il attendra qu'elle parle. Peut-être qu'elle partirait en courant, mais au moins, il se disait qu'il avait été honnête et pour lui, cela valait toutes les réactions du monde... 

HO. MON. DIEU. C'est ce qu'elle pensait de ses paroles. En tout cas, il avait de la franchise, dans le chateau ce soir. Il s'en disait des choses personnelles et des aveux, on ne pouvait pas le nier. À commencer par leur relation qui s'était définie, ensuite l'histoire de Mélina, pour qu'ensuite Amandine pose une question sur la vie antérieure d'Anthony, puis les révélations de PA et puis ça. La deuxième raison de rupture entre Rose et le Guerrier. Elle l'écouta, elle n'ayant pas de sourire aux lèvres. Car elle pensait, elle analysait ses paroles. Une autre fille. De sa maison. Blonde. Qui n'avait jamais vu une fille aussi belle. Elle criait avec sa meilleure amie. Rose s'en était aperçue. L'autre fille semblait vraiment, mais vraiment plus intéressante. Il a dit deux fois vraiment? Oui, il l'a bien dit. Amandine était comme cela, elle notait tout, analysait les mots, les points et les virgules, car une virgule mal placée pouvait tout détruire. Tout le monde savait cela. Puis, elle prit une grande inspiration, puis, elle éclata de rire. Cela faisait du bien, elle savait qu'il parlait d'elle. Elle le sait sans doute depuis longtemps, mais il venait de le confirmer. Un moment qui durait des minutes. Lorsqu'elle se calma, elle lui souriait, lui donnant un petit coup de poing sur le bras, petit hein, elle ne voulait pas détruire ses doigts non plus. 

Amandine:" Drôle et spéciale comme fille ? Et cela t'a pris 5 ans avant de me remarquer... ? Tu as été un brin lent... HAHAHA! Et la plus belle fille? Tu n'exagères pas un brin? Et ensuite... Je pense à ça, ça t'a quand même pris deux ans avant de venir me parler... Et moi, bêtement, je me suis faite un copain, croyant que tu allais jamais me remarquer.... "

Et elle ria de nouveau. Non, elle n'était pas gênée à ce moment. L'alcool l'avait calmé, le lieu, le fait qu'ils soient seuls, dans le noir. Peut-être, demain, en y repensant, elle sera gênée, mais pas pour l'instant. Ce qu'elle venait de dire était des questions subtiles. Du genre: Pourquoi 5 ans? Pourquoi 2 ans avant de venir me parler? Tu me trouves si belle que cela? Drôle et spéciale, cela veut dire quoi? Il a eu aussi un aveu, à la fin de sa phrase, qui laissait présager qu'elle aussi l'avait remarqué. Non, pour l'instant, ses questions, elle n'était pas capable de lui posée directement, mais s'il comprenait, elle était capable de recevoir les réponses. Puis, sa tempe ira se poser sur l'épaule du Professeur, fermant un moment les yeux...

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